*Aide au logement: un premier bilan mitigé (L’Économiste)
Trois mois après son lancement, le programme d’aide au logement suscite de vives réactions auprès des professionnels de l’immobilier. De sources concordantes auprès de la Fédération nationale des promoteurs immobiliers (FNPI), le nouveau dispositif rencontre de nombreuses difficultés, notamment la disponibilité de l’offre à 300.000 DH qui est quasi inexistante dans les grandes villes comme Casablanca ou Rabat. En même temps, l’essentiel des acquéreurs potentiels de ce type de logement est concentré dans l’axe Casa-Rabat. Autre problème et non des moindres, le déficit du foncier dans les grandes agglomérations. Du coup, les nouveaux programmes de construction ont du mal à trouver des emplacements à l’intérieur des villes. Selon le président de la FNPI (Taoufik Kamil), «le problème de l’offre réside uniquement dans certaines grandes villes. Mais s’il n’y a pas assez d’offres, c’est essentiellement parce qu’il y a un problème et un déficit de foncier. Par ailleurs, des promoteurs sont très critiques par rapport au faible volume des nouvelles constructions éligibles au dispositif.
*Croissance: l’embellie se confirme (L’Economiste)
Un vent d’optimisme souffle chez les principaux partenaires économiques du Maroc. L’activité reste plus résiliente que prévu, bien qu’avec des divergences considérables entre les économies. C’est le constat de l’OCDE qui vient de publier ses perspectives économiques du mois de mai sous le signe de «L’amorce d’une reprise». La reprise se dessine et le Maroc devrait en principe profiter de ce redressement. En effet, la croissance du PIB réel devrait s’établir à 3,5% en 2024 et à 4% en 2025, selon les projections de l’OCDE. En publiant leurs rapports économiques au cours de l’année, plusieurs institutions internationales (FMI, Banque mondiale, Cnuced, Allianz Trade…) ont jugé que le Maroc a su faire preuve de résilience et maîtriser ses équilibres macroéconomiques, sécurisant ainsi son accès aux financements. Ce qui permettra de répondre aux défis à venir: reconstruction post-séisme, réformes sociales, Coupe du monde… D’après le FMI, la croissance réelle du PIB devrait progressivement augmenter à 3,5% au cours des prochaines années, stimulée par la poursuite de la mise en œuvre du programme de réformes structurelles. Un constat confirmé aussi par l’OCDE.
*Nasser Bourita : S.M. le Roi a fait de la protection des droits de l’Homme le «ciment d’une société moderne, juste et apaisée» (Le Matin)
Sa Majesté le Roi Mohammed VI a fait de la protection et de la promotion des droits de l’Homme le «ciment d’une société moderne, juste et apaisée», a affirmé, mercredi à Asuncion, le ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita. Dans un message diffusé devant le deuxième séminaire international des mécanismes nationaux de mise en œuvre et d’élaboration de rapports en matière des droits de l’Homme (Asuncion 8-9 mai), Bourita s’est réjoui de ce conclave qui «se tient tout juste un an après celui de Marrakech en décembre 2022, et qui, dans la continuité de celui-ci, s’emploiera à créer un réseau international des mécanismes nationaux de mise en œuvre et d’élaboration de rapports en matière des droits de l’Homme», ajoutant que le principe de ce réseau figure dans un engagement conjoint pris par le Maroc, le Paraguay et le Portugal. Le ministre a estimé que cette convergence est le fruit d’un engagement commun en faveur de la promotion et la protection des droits de l’Homme et la preuve que les relations bilatérales solides et fondées sur la confiance mutuelle et les valeurs partagées peuvent impulser des progrès significatifs sur la scène internationale.
*Hicham Zouanat : Si tout se passe comme prévu, l’impact de la hausse des salaires sur la trésorerie des entreprises ne sera pas important (Le Matin)
La hausse générale des salaires et la révision à la baisse de l’IR de certaines tranches de salaires sont-elles une bonne nouvelle pour l’entreprise ? Lors de son tout premier passage à l’émission L’Info en Face, de «Groupe Le Matin», Hicham Zouanat, président de la Commission sociale de la CGEM, a indiqué que l’accord scellé dans le cadre du dialogue social est bon, à condition qu’il soit exécuté, et ce dans les délais prévus. Car, explique ce spécialiste en ressources humaines, les engagements de la CGEM sont chiffrés et datés alors que ceux du gouvernement et des syndicats relèvent de la législation. «Le cadre juridique relatif au droit de grève est presque finalisé. Les syndicats ont demandé du temps additionnel pour en discuter», révèle Zouanat à ce propos. Mais pour savoir si tout a été fait comme prévu, il faudra procéder à une évaluation objective : «On ne peut avoir une véritable évaluation de cet accord social que vers fin 2025 ou début 2026. Celle-ci sera basée sur les faits et les livrables», insiste Zouanat.
*Secteur des assurances : 4,5 milliards de DH de bénéfices en 2023, un record ! (Le Matin)
Après une hausse annuelle de 1% en 2022, le résultat net du secteur des assurances a progressé de 5,8% en 2023. Il a atteint ainsi 4,5 milliards de dirhams, un bénéfice annuel cumulé record, boosté notamment par les produits nets de placements. Ceux-ci ont clôturé l’année 2023 avec une performance remarquable, en enregistrant un volume de 8,8 milliards de dirhams, en croissance de 28,2%, suite à la reprise du marché boursier. Au vu de cette performance, le taux de rendement des fonds propres (résultat net/fonds propres) s’est apprécié à 9,6% contre 9,4% un an auparavant. C’est ce qui ressort de la Situation annuelle du secteur des assurances et de réassurance-Exercice 2023, publié par l’Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS). Par opérateur, le résultat net des assureurs directs s’est amélioré de 6,2% à 4,2 milliards de dirhams, au moment où celui du réassureur exclusif s’est quasiment stabilisé à 282,2 millions (+0,1%).
*Activité portuaire : les ports marocains de commerce bientôt dotés de plans spécifiques de gestion des déchets (Le Matin)
L’Agence nationale des ports (ANP) s’apprête à franchir un nouveau pas dans sa politique de responsabilité sociale et environnementale. Le régulateur portuaire est sur un projet de plans de gestion des déchets solides et liquides générés par l’activité dans les ports de commerce du Royaume. Dans la loi 15-02 sur les ports, le législateur marocain a exprimé sa préoccupation pour la question de prévention contre la pollution et la préservation de l’environnement. Ce texte impose à chaque port d’établir un plan d’aménagement interne qui définit les zones portuaires et, entre autres, les zones et les espaces réservés à la réception, à la collecte et au stockage des déchets résultant des activités maritimes et portuaires.
*Les prisons marocaines dotées d’une capacité litière supplémentaire de 5.212 lits en 2023 (Le Matin)
Dans son rapport d’activités au titre de l’année 2023, la Délégation générale à l’Administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) fait état d’une augmentation d’environ 3% de la capacité d’hébergement, notant que ce chiffre demeure insuffisant pour réduire de manière significative le taux de surpopulation carcérale, estimé à 159%, et augmenter la superficie moyenne consacrée à chaque détenu, qui s’élève à peine à 1,75 m². La DGAPR a multiplié les efforts pour parachever les projets de construction de nouveaux établissements pénitentiaires afin d’améliorer la capacité carcérale et de lutter contre le phénomène de surpopulation, ainsi que les projets de réhabilitation d’anciens établissements pénitentiaires, pour les adapter aux conditions d’hébergement nécessaires. Elle a affirmé avoir mis à disposition une capacité litière supplémentaire de 5.212 lits en 2023, portant à 64.649 lits la capacité carcérale, et ce dans le cadre de l’humanisation des conditions d’incarcération dans les prisons marocaines.
*Médecins légistes: Une spécialité désertée en quête de scalpels (L’Opinion)
Les médecins légistes se font de plus en plus rares. Actuellement, il n’y en a que six dans le pays, selon les chiffres récemment dévoilés par le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khalid Ait Taleb, au Parlement. Bien qu’il y ait 76 praticiens initiés sans formation complète, les ressources humaines font défaut. Cette spécialité n’attire pas les médecins généralistes qui préfèrent des carrières plus juteuses, et le déficit pèse lourdement sur la Justice qui demeure la première destinataire des services de la Médecine légale. Ce problème a pris une telle ampleur que le ministère de la Justice s’en est saisi en cherchant à améliorer la rémunération des actes d’autopsie qui demeure, aujourd’hui, dérisoire. L’enjeu est d’arriver à 250 praticiens dans les prochaines années. Un objectif qui reste loin de portée.
*Emploi: Les recommandations du CESE pour mieux intégrer les jeunes (L’Opinion)
Pour faire face au phénomène des jeunes nouvellement formés dans l’enseignement et la formation professionnels et d’accélérer l’intégration sociale et économique de cette catégorie de jeunes, le Conseil économique, social et environnemental a recommandé l’adoption d’une approche globale basée sur le renforcement des capacités de suivi et d’identification des jeunes hommes et femmes vulnérables et à risque ayant des besoins spécifiques. Ces démarches devront permettre de développer un système plus large d’accueil et de mobilisation des jeunes et de les orienter vers des centres d’accueil, d’écoute et de conseil au sein des différentes communautés. Ainsi, les jeunes économiquement et socialement défavorisés peuvent bénéficier des services et programmes d’insertion économique et sociale des jeunes chômeurs en termes de qualité et d’efficacité, en les insérant dans la vie active.
*Chambre des Conseillers: La réforme de la loi sur la grève en débat (L’Opinion)
Intervenant mardi, lors de la séance des questions orales à la Chambre des Conseillers, le ministre de l’Inclusion Économique, de la Petite Entreprise, de l’Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri, a affirmé que l’adoption de la loi sur la grève constitue une urgence et que l’adoption de celle relative aux organisations syndicales viendra en deuxième lieu. S’agissant de la loi organique relative aux conditions et modalités d’exercice du droit de grève, le ministre a souligné que cela fait près de huit années que la réforme de ce chantier traîne dans les tiroirs du parlement, précisément depuis octobre 2016. Le ministre a indiqué que le gouvernement œuvre pour son adoption au cours de l’actuelle session parlementaire après l’achèvement de son examen avec les partenaires sociaux, précisant que ce texte doit garantir le droit de grève avant d’aborder les conditions de son exercice.
*SM le Roi reçoit SAR le Prince Turki Ben Mohammed Ben Fahd Ben Abdelaziz Al Saoud, émissaire du Serviteur des Lieux Saints de l’Islam, porteur d’un message au Souverain (Al Bayane)
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a reçu, mardi au Palais Royal de Casablanca, SAR le Prince Turki Ben Mohammed Ben Fahd Ben Abdelaziz Al Saoud, ministre d’Etat saoudien, membre du Conseil des ministres, émissaire de Sa Majesté le Roi Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, Souverain du Royaume d’Arabie Saoudite, porteur d’un message du Serviteur des Lieux Saints de l’Islam à Son frère Sa Majesté le Roi. L’audience que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a accordée à l’émissaire du Souverain saoudien s’inscrit dans la tradition de concertation entre les deux pays au sujet des questions bilatérales et régionales. Au cours de cette audience, Sa Majesté le Roi a réitéré Sa grande fierté des liens de fraternité sincère et d’estime mutuelle liant les deux Souverains et les deux Familles Royales, ainsi que des relations solides entre les deux pays, basées sur la coopération constructive et la solidarité agissante.
*AMO Tadamon: Ait Taleb réaffirme la continuité de l’hospitalisation gratuite pour les maladies chroniques ou incurables (Al Bayane)
Le ministre de la Santé et de la protection sociale, Khalid Ait Taleb, a réaffirmé que les anciens bénéficiaires du régime d’assistance médicale (RAMED), qui suivaient un traitement pour maladie chronique ou incurable, vont continuer de bénéficier de l’hospitalisation gratuite dans les établissements de santé publics. En réponse à une question orale à la Chambre des représentants sur “les difficultés de bénéficier du régime d’Assurance Maladie Obligatoire (AMO)”, posée par le Groupe istiqlalien de l’unité et de l’égalitarisme, Ait Taleb a assuré que son département est conscient des contraintes du basculement du RAMED vers l’AMO Tadamon, soulignant que “des correspondances ont été envoyées et des circulaires émises afin d’assurer que les anciens bénéficiaires du RAMED souffrant de maladies chroniques ou incurables puissent continuer de bénéficier du traitement dans les hôpitaux publics”.
*Les relations entre le Maroc et l’Autriche, un exemple de partenariat euro-africain (Libération)
Les relations historiques qui lient le Maroc et l’Autriche constituent un exemple de ce que devrait être le partenariat euro-africain, ont affirmé les participants à un colloque, mardi soir dans les locaux de l’École des hautes études internationales de Vienne. Lors de cette rencontre, organisée à l’occasion de la présentation du livre du séminaire international “Dimensions historiques et diplomatiques des relations entre le Maroc et l’Autriche”, tenu le 16 juin 2023 en célébration du 240ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays, les intervenants ont souligné que Rabat et Vienne sont déterminés à capitaliser sur cet acquis historique, en vue de promouvoir le partenariat bilatéral dans tous les domaines.
*Maroc-Pérou: Signature d’un accord de jumelage entre le Conseil de la région Dakhla-Oued Eddahab et le Gouvernement régional de Piura (Libération)
Un accord de jumelage entre le Conseil de la région Dakhla-Oued Eddahab et le Gouvernement régional de Piura (Pérou), a été signé, mardi à Dakhla, dans le but de renforcer les relations bilatérales de coopération dans plusieurs domaines d’intérêt commun. S’inscrivant dans le cadre de la coopération décentralisée entre le Maroc et la République du Pérou, cet accord a été paraphé par le président du Conseil de la région Dakhla-Oued Eddahab, El Khattat Yanja et le gouverneur de Piura (Pérou), Luis Neyra León, en présence du parlementaire et membre du Congrès de la République du Pérou, Eduardo Castillo Rivas, d’élus et des chefs des services extérieurs. Selon les deux parties, cet accord ouvre des perspectives prometteuses pour le renforcement des relations de coopération et d’amitié et la consolidation des liens de partenariat dans les différents secteurs dont l’économie, le tourisme, l’environnement, la culture et la recherche scientifique.
*Le code de déontologie parlementaire en stagnation (Al Ahdath almaghribia)
Le débat sur le code de déontologie parlementaire est revenu à la case de départ, après que la Chambre des représentants ait échoué à atteindre un consensus sur le contenu de ce code entre les deux sessions, c’est-à-dire en mi-avril au plus tard. Une source informée a indiqué que le bureau de la Chambre des représentants a tenu mardi, une réunion au cours de laquelle il a été convenu de réorganiser et compiler le code de déontologie de la Chambre des représentants, sous la supervision d’une commission chargée de cette mission en plus de celle d’ajouter les amendements des groupes parlementaires. Ce retard dans l’élaboration du règlement intérieur intégrant un code de déontologie reflète la situation que vit la Chambre des représentants à la lumière de l’augmentation des cas de parlementaires poursuivis par la justice, ce qui suscite la polémique au sein de l’hémicycle, alors que certains membres réclament la réduction des pouvoirs de ces députés poursuivis, en les empêchant de présider les commissions parlementaires permanentes, d’assister à la séance inaugurale du Parlement et de siéger dans le bureau de la Chambre des représentants, alors que cette proposition trouve une opposition chez les différents groupes parlementaires, qui la qualifient d’inconstitutionnelle.
El Mansouri éloigne les « corrompus » du bureau politique (Assabah)
La coordinatrice du parti de l’Authenticité et de la Modernité (PAM), Fatima Ezzahra El Mansouri, a décidé de refuser aux personnes soupçonnées d’implication dans des affaires de corruption et celles poursuivies par la justice de siéger au sein du bureau politique du PAM, selon une source du journal. La « Dame de fer » du parti du tracteur a pris cette décision en compagnie des membres de la direction collégiale, El Mehdi Bensaid et Salahdine Aboulghali, ainsi qu’un groupe de membres du parti, afin d’encourager les jeunes et certains anciens au sein de la formation politique et leur accorder la confiance, à condition qu’ils soient intègres, qu’ils disposent d’un rayonnement public au sein de leurs régions et qu’ils soient aptes à concourir dans les élections. Des anciens membres du parti ont exprimé, à cette occasion, des craintes que Mansouri présente une liste composée uniquement de jeunes manquant d’expérience politique et de rayonnement populaire pour bénéficier des voix des membres du Conseil national du PAM, ce qui affectera la situation du parti lors des élections de 2026, en lui faisant perdre son statut électoral, poussant le « tracteur à labourer une terre stérile ».
*Le retard de la mise en œuvre du projet d’un tribunal interpelle Ouhbi (Al Akhbar)
Le retard dans la mise en œuvre du projet de construction d’un tribunal de première instance dans la province de M’diq suscite le mécontentement de plusieurs usagers, ce qui interpelle le ministre de la Justice, Abdellatif Ouhbi, qui a effectué des visites de terrain dans les villes de Martil, M’diq et Fnideq afin de déterminer l’assiette foncière du projet, et ainsi couper court à la polémique autour de la nécessité de respecter une distance suffisante des complexes résidentiels et des futurs projets touristiques. Selon des sources informées, plusieurs usagers appellent à la construction d’un tribunal de première instance dans la province de M’diq avant la fin du mandat gouvernemental, afin de rapprocher ce lieu public sensible des usagers, et ainsi alléger le fardeau du transport de régions lointaines vers les tribunaux de Tétouan pour certaines catégories vulnérables de la population.
*Arrêt du versement de l’aide sociale directe au profit de certaines familles (Al Alam)
Le gouvernement a reçu un total de 4,4 millions de demandes pour bénéficier de l’aide sociale directe, alors que 3,64 millions de ménages en bénéficient, ce qui équivaut à 12 millions de personnes. Le coût total de cette aide a atteint, durant cette période, 2 MMDH, alors que les prévisions à fin 2024 atteignent 25 MMDH. Ces chiffres ont été annoncées par la ministre de l’Économie et des Finances Nadia Fettah à la Chambre des Conseillers. La ministre a ajouté que le statut personnel de chef de famille a un impact sur le seuil d’éligibilité pour bénéficier de l’aide sociale directe. Elle a également souligné que des opérations de surveillance ont révélé des cas de fraude dans certaines données présentées, ce qui a provoqué l’arrêt du versement de l’aide pour certaines familles. La ministre a assuré que l’aide sociale directe est une révolution sociale, que les Marocains ont attendue pendant des années, devenue réalité à partir de décembre dernier, notant que cette aide repose sur les données du Registre social unifié, qui se base sur des mécanismes modernes et transparents pour l’enregistrement des familles.
Bourita reçoit le ministre bahreïni des Affaires étrangères (Rissalat Al Oumma)
Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a reçu mardi à Rabat, le ministre des Affaires étrangères du Royaume de Bahreïn, Abdullatif Bin Rashid Al Zayani. Cette visite, qui s’inscrit dans le cadre des relations fraternelles entre SM le Roi Mohammed VI et son frère SM Hamad Ben Issa Al Khalifa, Souverain de Bahreïn, vient réaffirmer les liens distingués unissant les deux pays et marqués du sceau de la solidarité agissante et soutenue, de la coordination constante et de la concertation continue. Elle intervient également dans le cadre des préparatifs du 33è sommet arabe prévu du 14 au 16 mai au Royaume de Bahreïn.
*Le ministre malien de la Culture rend hommage à SM le Roi Mohammed VI pour Son soutien à la promotion de la culture africaine (Assahra almaghribia)
Le ministre malien de l’Artisanat, de la culture, de l’industrie hôtelière et du tourisme, Andogoly Guindo, a rendu, mardi à Rabat, un hommage appuyé à SM le Roi Mohammed VI pour les efforts que le Souverain ne cesse de déployer en faveur de la promotion de la culture africaine. “Je tiens à rendre hommage à Sa Majesté le Roi et à Lui exprimer ma profonde gratitude et reconnaissance pour Son soutien à la promotion de la culture africaine”, a indiqué Guindo, lors d’un point presse consacré à la présentation de l’exposition “Bamako Dreams 30” qui se tient au Musée national de la photographie à Rabat. Le ministre malien a également salué, à cette occasion, l’action que mène le Souverain depuis très longtemps pour la “magnificence, la protection et la promotion de la culture et de l’art africains”.
*Sûreté radiologique : L’AMSSNuR et l’AIEA lancent un programme de formation régional exhaustif (Bayane Al Yaoum)
L’Agence marocaine de Sûreté et de Sécurité Nucléaires et Radiologiques (AMSSNuR) et l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique (AIEA), ont inauguré, lundi à Rabat, un programme de formation régional exhaustif sur la sûreté radiologique et la sécurité des matières radioactives. Ce programme s’inscrit dans le cadre des arrangements pratiques signés en septembre 2023 par le Directeur général de l’AMSSNuR, Saïd Mouline et la Directrice générale adjointe de l’AIEA, Lydie Evrard, indique-t-on dans un communiqué. D’une durée de six semaines (du 6 mai au 14 juin), cette formation est spécialement conçue pour renforcer les capacités des nouveaux régulateurs africains afin d’assurer un contrôle réglementaire efficace et efficient de la sûreté radiologique et de la sécurité des matières radioactives, précise le communiqué de l’AMSSNuR.
*Rabat: les lauréats du 2è Prix “Al Qods Acharif” d’excellence journalistique dévoilés (Al Ittihad alichtiraki)
Les lauréats de la deuxième édition du Prix “Al Qods Acharif” d’excellence journalistique dans les médias de développement, un concours annuel organisé par l’Agence Bayt Mal Al Qods Acharif en collaboration avec l’Institut Supérieur de l’Information et de la Communication (ISIC) de Rabat et l’Institut de l’Information moderne de l’Université d’Al-Qods, ont été dévoilés mardi à Rabat. Lors de cette seconde édition, qui porte le nom de l’ancien directeur de Laâyoune TV, feu Mohamed Laghdaf Eddah, les productions des lauréats ont été réparties en trois catégories, à savoir le podcast, le reportage télévisé et l’article de presse écrite-électronique. Le jury du Prix, présidé par l’académicien et romancier palestinien Walid Shurafa, professeur de l’enseignement supérieur à l’Université d’Al Qods, comprenait de nombreux professeurs et chercheurs dans le domaine du journalisme et des médias au Maroc et en Palestine.
MAP 09 Mai 2024