Les dernières informations de la presse nationale de ce jeudi 16/05/2024:

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 L’indemnité pour perte d’emploi attend sa réforme (L’Economiste)


Voilà un dossier important sur lequel le gouvernement devra trancher au cours des prochains mois: la généralisation de l’indemnité pour perte d’emploi (IPE), laquelle est prévue en 2025. Le dispositif en place devra être revu pour le rendre plus accessible, équitable et financièrement durable. Gérée par la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), l’IPE assure un minimum pour les salariés qui perdent leurs emplois de manière involontaire. Elle permet, en plus, le maintien du service des allocations familiales, de la couverture AMO et de la retraite pendant la période d’indemnisation. Ce minimum de revenu est équivalent à 70% du salaire de référence, soit le salaire moyen déclaré pendant les 36 derniers mois avant l’arrêt du travail sans excéder le montant du SMIG.

*Benmoussa évalue les écoles pionnières (L’Economiste)

Les parlementaires voulaient un bilan des écoles pionnières, ces établissements mis en place à titre expérimental par le ministère de l’Education nationale comme une entrée principale pour relier la réforme au contenu de la scolarité qui se concentre sur l’amélioration des apprentissages de base des élèves. Chakib Benmoussa compte élargir la portée de ce projet au cours de la prochaine saison académique avec l’ajout de 2.000 écoles primaires dont près d’environ un million d’élèves vont bénéficier. L’objectif est d’atteindre la généralisation de ces écoles au cours de la saison académique 2027-2028. L’impact est tellement palpable en dépit des grèves des enseignants, que Chakib Benmoussa veut étendre l’expérience des écoles pionnières au collège. Cela se fera à l’occasion de la prochaine rentrée scolaire dans le cycle secondaire collégial en englobant 230 établissements au niveau national.

*Grève dans les Facultés de médecine : les députés plaident la cause des étudiants et appellent à favoriser l’esprit du compromis (Le Matin)

Alors que la crise des étudiants en médecine en grève depuis près de quatre mois est toujours sans issue, des voix s’élèvent pour que la sagesse et l’esprit de compromis l’emportent, surtout après l’intervention lundi à la Chambre des représentant de Abdellatif Miraoui, qui a brillé par son intransigeance. En effet, le passage du ministre de l’Enseignement supérieur a suscité de vives réactions chez les députés. Ces derniers n’ont pas raté l’occasion pour fustiger le ministre et son mode de gestion de ce dossier, appelant à une relance immédiate du dialogue afin d’éviter le scénario de l’année blanche qui se précise au fil des jours. Mais bien au-delà, pour les parlementaires, cette crise risque d’avoir des conséquences incalculables sur l’avenir des étudiants, mais aussi sur les l’attractivité des études médicales au Maroc et par conséquent sur le chantier de réforme de la protection sociale.



Effets secondaires des vaccins AstraZeneca : pourquoi saisir la justice est une démarche laborieuse et quasiment vaine (Le Matin)

La polémique sur les vaccins anti-Covid d’AstraZeneca continue de faire couler de l’encre. De nombreuses personnes expriment sur les réseaux sociaux leur désir de suivre les pas de la citoyenne marocaine victime des effets secondaires de ce vaccin, qui a été dédommagée par l’État. Cependant, engager une action en justice contre l’État n’est pas une mince affaire, d’autant plus que la preuve du lien de causalité du vaccin reste un défi quand beaucoup de temps s’est écoulé. «Quand on parle d’effets secondaires de vaccins, on peut désigner quatre parties responsables. Il s’agit essentiellement du laboratoire qui a fabriqué le vaccin, le distributeur qui peut commettre une erreur au niveau de la conservation des doses, le professionnel de la santé qui peut être négligent et enfin l’État qui a appelé les populations à se faire vacciner durant la période de la pandémie», a expliqué Mohamed Jamal Maatouk, professeur universitaire et conseiller juridique.

*Logistique: un plan ambitieux d’expansion du réseau ferroviaire et aéroportuaire pour stimuler la connectivité et la croissance (L’Opinion)

Le ministre du Transport et de la Logistique, Mohammed Abdeljalil, a annoncé mardi devant les conseillers parlementaires un plan d’investissement massif visant à relier les principales villes, aéroports et ports, avec pour objectif de transformer considérablement le paysage des transports dans le Royaume. Au cœur de cette initiative, la mise en place de nouvelles liaisons ferroviaires, notamment la connexion d’Agadir aux provinces du Sud, qui promet de révolutionner les déplacements régionaux. L’Office National des Chemins de Fer (ONCF) a déjà entrepris des études préliminaires pour tracer les itinéraires et évaluer les coûts associés à ces projets. Ce plan nécessite un investissement financier de plus de 400 milliards de dirhams. Les objectifs sont clairs : construire 1.300 kilomètres de nouvelles lignes à grande vitesse et 3.800 kilomètres de lignes classiques pour relier un total de 43 villes marocaines.

*Un éclairage sur les profils et déterminants des jeunes NEET (L’Opinion)

Le HCP vient de publier le 29ème numéro des «Brefs du Plan» intitulé «Profils et déterminants des jeunes NEET (ni en emploi, ni en éducation, ni en formation) au Maroc : Un éclairage à partir de l’enquête nationale sur l’emploi 2022». Cette étude vise à enrichir les analyses déjà menées par le HCP sur cette catégorie, tout en espérant éclairer davantage les décideurs politiques et sociaux concernés par les défis rencontrés par les jeunes dans notre société, et en particulier les jeunes NEET, indique cette publication. Au Maroc, les jeunes âgés de 15 à 24 ans constituent un groupe important, représentant environ 39% de la population âgée de moins de 25 ans. De surcroît, l’analyse révèle l’importance significative du contexte familial et parental, expliquant que par exemple la présence d’au moins un enfant de moins de 3 ans dans le ménage est associée à une augmentation d’environ 15,8% des probabilités d’être NEET, indépendamment des autres variables.

GITEX Africa Morocco 2024: l’IA au cœur de la grand-messe technologique en Afrique (Les Inspirations éco)

Le plus grand événement axé sur les nouvelles technologies et sur les startups africaines revient pour une deuxième édition dans la ville ocre. Si l’année dernière 900 exposants avaient fait le déplacement, «cette année ce sont plus de 1.500 qui seront là, en plus de 800 startups, contre 400 l’année dernière», a affirmé Ghita Mezzour, ministre déléguée chargée de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, dans une déclaration aux Inspirations ÉCO, en marge de la conférence de presse tenue à Rabat le 15 mai. « 50.000 visiteurs sont attendus lors de cette édition, contre 30.000 l’année dernière», a-t-elle ajouté. Des startups du Nigéria, du Royaume-Uni, du Kenya ou encore du Ghana présenteront leur dernières innovations, en marge de divers masterclass et conférences sur l’intégration de l’intelligence artificielle dans divers domaines, dans le domaine de la santé, du journalisme ou encore de la gouvernance.

*Croissance: la BERD s’aligne sur les autres institutions (Les Inspirations éco)

Les prévisions des institutions internationales concernant la croissance économique qui sera réalisée en 2024 abondent dans le même sens. Après les estimations du Fonds monétaire international (FMI) qui tablent sur 3,1%, c’est au tour de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) de livrer son diagnostic. Sans surprise, la croissance économique se situe quasiment au même niveau, sachant que les estimations nationales prévoient, quant à elles, une croissance de l’ordre de 3,2%. Les prévisions pour 2025 sont plus optimistes puisque la croissance devrait s’établir à 3,6%. Cette dernière est soutenue par une reprise de la demande extérieure et de l’investissement public, selon la BERD.

 *Sociétés cotées: le retour à la croissance se confirme (Les Inspirations éco)

Les secteurs industriel, financier et des assurances devraient connaître des évolutions positives en termes de revenus et de capacité bénéficiaire pour les années 2024 et 2025, selon les pronostics avancés par BMCE Capital Global Research (BKGR). La société de recherche prévoit une amélioration de l’activité commerciale de son périmètre de 5,9%, à 275 milliards de dirhams (MMDH) en 2024, soutenue par tous les secteurs, avec une croissance de 6,1% pour les financières, 5,7% pour les industries, et 6,5% pour les assurances. Cette progression est accompagnée d’une hausse de la marge opérationnelle de 0,5 point, à 17,5%, résultant d’une légère baisse des prix des intrants et d’une atténuation des pressions inflationnistes. De plus, une augmentation de la capacité bénéficiaire de 13,4%, à 33,2 MMDH est attendue en 2024, comparée à 13,7% dans les prévisions précédentes.

Contrôles fiscaux: qui pour assister le contribuable ? (Les Inspirations éco)

La Charte du contribuable 2024 publiée par la Direction générale des Impôts (DGI) stipule clairement que «les contribuables ont le droit de faire appel à un conseil de leur choix pour les assister lors des opérations de vérification. Ils disposent de la garantie de choisir librement aussi bien le titre que l’effectif des personnes pouvant remplir ce rôle d’assistance», souligne la charte. Par conséquent, les contribuables disposent d’une grande liberté pour choisir les experts qui les assisteront, y compris des avocats, et pas que des expert-comptables, du moment qu’ils ont les compétences nécessaires en matière fiscale et de contrôle par l’administration. Ce droit n’est pas nouveau, mais sa reconnaissance expresse dans la Charte en souligne l’importance capitale. Le contribuable dispose ainsi de la garantie de choisir librement le profil et l’effectif des personnes pouvant remplir ce rôle d’assistance.

*SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan préside le déjeuner offert par SM le Roi à l’occasion du 68ème anniversaire des FAR (Libération)

Sur Ordre de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Chef Suprême et Chef d’Etat-Major Général des Forces Armées Royales, Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé, mardi au Cercle Mess Officiers de Rabat, le déjeuner offert par Sa Majesté le Roi, à l’occasion du 68ème anniversaire de la création des Forces Armées Royales (FAR). Ont pris part à ce déjeuner, le Chef du Gouvernement, des Conseillers de Sa Majesté le Roi, les membres du Cabinet Royal, les membres du Gouvernement, les Officiers supérieurs de l’État-Major Général des FAR, les Attachés militaires étrangers accrédités à Rabat, ainsi que d’autres personnalités civiles et militaires.

 *Le PPS rejette le discours gouvernemental rigide et les mesures disciplinaires injustes à l’encontre des étudiants des facultés de médecine et de pharmacie (Al Bayane)

Le bureau politique du PPS, qui a tenu sa réunion périodique mardi, s’est arrêté sur les développements graves de la situation dans les facultés de médecine et de pharmacie. Il a exprimé, à cet égard, son rejet des positions rigides du gouvernement quant à sa volonté de trouver une solution urgente et juste à la crise actuelle. Le parti du Livre a également exprimé sa réprobation des décisions disciplinaires prises par le gouvernement à l’encontre d’un certain nombre d’étudiants des facultés de médecine et de pharmacie. À cet égard, le PPS a réitéré son appel au gouvernement à assumer la responsabilité politique impérative et nécessaire, en trouvant les solutions appropriées et urgentes à cette tension persistante, afin d’éviter la catastrophe d’une année blanche.

Proposition de loi sur les violences numériques à l’égard des femmes (Al Ahdath almaghribia)

Face à l’aggravation du phénomène de violence numérique à l’égard des femmes, et en guise de contribution à l’enrichissement de l’arsenal juridique, l’Association Tahadi pour l’égalité et la citoyenneté (ATEC) a élaboré une proposition de loi global visant la protection des femmes et des filles de la violence sur internet. ATEC a indiqué dans un communiqué qu’elle œuvrera à soumettre ce texte aux Groupes parlementaires avec l’espoir que l’un d’eux l’adopte. Ce texte comporte 40 articles répartis sur 8 chapitres, couvrant différents aspects de la prévention et de la lutte contre la violence numérique, ainsi que la prise en charge de ses victimes. Il propose une définition précise de la cyberviolence, en mettant l’accent sur la violence numérique à l’égard des filles et des femmes, criminalise toutes les formes de cette violence et en établit des peines dissuasives à l’encontre des coupables. Le texte établit également les mécanismes de protection des femmes et des filles objets de violence numérique, d’encouragement de la dénonciation et détermine la responsabilité des fournisseurs de services et des sociétés de télécommunications dans la lutte contre la violence numérique, tout en privilégiant l’approche des droits de l’Homme pour faire face à ce phénomène.


*Remaniement ministériel prévu: un quart du gouvernement à l’heure du changement (Assabah)

Les dirigeants de la coalition gouvernementale tiendront, dans les prochains jours, une réunion d’urgence pour discuter du remaniement gouvernemental, selon des sources du quotidien. Ces dirigeants ont communiqué par téléphone et au sein de réunions parallèles, décidant de tenir une réunion avant la fin du mois, pour évaluer le travail de chaque membre du gouvernement et de proposer, le cas échéant, un nouveau ministre pour le remplacer ou nommer un secrétaire d’État pour l’épauler, ou garder celui ou celle qui mérite de continuer au sein de l’exécutif avec l’espoir qu’il améliore son rendement. Il est estimé que le quart des ministres est concerné par le prochain remaniement. Il semble que certains ministres ne se sont pas adaptés au travail du gouvernement et préfèrent retourner au secteur privé où ils disposent d’une large expérience, alors que d’autres remplissent plusieurs missions, ce qui a affecté leurs performances. D’autres ministres n’ont pas réalisé des résultats tangibles, mais réclament un temps supplémentaire pour montrer les résultats de leurs missions à la tête de leurs départements.



*Les universités marocaines au bas des classements internationaux (Al Alam)

De récents rapports internationaux sur les universités démontrent que les universités marocaines publiques et privées sont au bas du classement mondial. Selon les données du classement « Times higher education 2024 », ou le classement de « Shanghai » 2023, outre le classement de la compagnie « Quackarelli Symonds » 2024, les universités marocaines participant à ces classements ont été classées derrière les 1.000 meilleures universités. Ces classements concernant les universités marocaines font ressortir une fragilité du milieu de la recherche et l’absence de structures, qui représentent le plus important critère dans ce classement. Les universités marocaines, selon des experts, ne disposent pas de stratégies claires pour améliorer leurs classement international, en raison de leur négligence ou indifférence, ou parce qu’elles ignorent les critères et les indicateurs adoptés. La mauvaise performance des universités marocaines peut même être expliquée par le désintérêt des chercheurs marocains de publier leurs recherches dans des périodiques classés à l’international, dont la plupart sont publiés en anglais.

Le Conseil de la ville de Casablanca adopte la hausse du prix du ticket du tramway (Al Massae)

Le conseil de la ville de Casablanca a adopté, à la majorité, la révision de la tarification du transport via les lignes du tramway, ainsi qu’une modification du système actuel pour éviter certains comportements inappropriés de la part d’un certain nombre de passagers du tramway. En vertu de cette décision, le prix du ticket du tramway pour un seul voyage passe de 8 à 9 dirhams, alors que le titre pour deux voyages atteint 16 dirhams au lieu de 14. La maire de Casablanca, Nabila Rmili, avait indiqué récemment que les tarifs du tramway de Casablanca évolueraient pour faire face au déficit financier résultant de l’exploitation des six lignes du tramway et du Casabusway.


*Akhannouch à Manama pour représenter Sa Majesté le Roi au 33è Sommet arabe (Assahra almaghribia)

Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, est arrivé mercredi à Manama pour représenter Sa Majesté le Roi Mohammed VI aux travaux de la 33è session du Conseil de la Ligue arabe au niveau du Sommet. Akhannouch a été accueilli à l’aéroport international de Bahreïn par SA Cheikh Nasser Ben Hamed Al Khalifa. La délégation marocaine à ce Sommet comprend notamment le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita. Le Sommet de Manama discutera d’une série de questions relatives à l’action arabe commune dans ses dimensions politique, économique, sociale, culturelle et sécuritaire, en plus de la coopération des pays arabes avec d’autres blocs régionaux.

*Bourita s’entretient à Manama avec le Premier ministre et ministre des AE palestinien sur l’évolution de la situation en Palestine (Al Ittihad alichtiraki)

Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, a eu des entretiens à Manama avec le Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et des Expatriés de l’Etat de Palestine, Mohamad Mustafa, axés sur la promotion des relations entre les deux pays frères et l’évolution de la situation sur la scène palestinienne. Au cours de cette entrevue, Bourita a réitéré la position constante du Royaume du Maroc, sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods, quant à la justesse de la cause palestinienne et aux droits légitimes du peuple palestinien à l’établissement de son Etat indépendant avec comme capitale Jérusalem-Est sur les frontières du 4 juin 1967.

Accords signés pour l’installation de deux projets chinois à la Cité Mohammed VI Tanger Tech (Al Akhbar)

Des accords pour l’installation de deux projets industriels d’envergure à la Cité Mohammed VI Tanger Tech, opérés par des leaders mondiaux de l’industrie de batteries automobiles, le groupe HAILIANG et la société SHINZOOM, ont été signés au siège de Bank Of Africa à Casablanca. La SATT note que “ces accords représentent un tournant majeur dans l’écosystème automobile marocain, avec l’accueil dans le Royaume d’un 1er opérateur industriel de cuivre, à travers le Groupe HAILIANG, et d’un 1er opérateur d’anodes, la société SHINZOOM”, indique un communiqué de la Société d’aménagement de Tanger Tech. Ces nouveaux projets ambitieux “confirment le positionnement de la Cité Mohammed VI Tanger Tech en tant que pôle d’excellence et d’opportunités pour les entreprises industrielles internationales opérant dans des secteurs compétitifs et globalisés, conformément à la vision clairvoyante de SM le Roi Mohammed VI”, a ajouté la même source.

*Le Maroc et la Chine signent un accord de coopération dans le domaine judiciaire et de la réinsertion sociale des détenus (Bayane Al Yaoum)

Un accord de coopération a été signé, mercredi à Rabat, entre le Maroc et la République populaire de Chine portant sur le plan d’action 2024-2025 dans les domaines de la coopération judiciaire, de la transition numérique et de la réinsertion sociale des détenus. Signé par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, et le vice-ministre chinois de la Justice, Zhao Changhua, cet accord porte sur un échange d’expériences entre les deux parties en matière de modernisation du système judiciaire. Il a également pour but de renforcer la coopération judiciaire entre les deux pays, notamment dans les domaines de la transition numérique et de la réinsertion sociale des détenus.

*La présidence du CDH est le fruit du crédit engrangé par le Royaume en matière de promotion des droits de l’Homme (Rissalat Al Oumma)

La présidence marocaine du Conseil des droits de l’Homme (CDH) des Nations unies est le fruit du crédit engrangé depuis des décennies par le Royaume en matière de promotion des droits de l’Homme à l’échelle nationale et au sein des instances multilatérales, a affirmé le président du CDH et représentant permanent du Maroc à Genève, Omar Zniber. “Le crédit engrangé depuis plusieurs décennies par le Maroc en termes de promotion et de protection des droits de l’Homme à l’échelle nationale et au sein des instances multilatérales, doublé d’une diplomatie active au sein de l’ONU, notamment au sein du CDH, justifie la confiance de la famille africaine et plus largement de la communauté internationale quant à la présidence marocaine de ce 18ème cycle pour 2024”, a souligné Zniber dans une allocution enregistrée lors d’une conférence organisée par le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) autour de la thématique: “La présidence marocaine du CDH: interaction du Maroc avec l’ONU”, dans le cadre de la 29ème édition du Salon international de l’édition et du livre.


 MAP  16 Mai 2024