SM le Roi souligne la nécessité d’entourer de plus de sollicitude les États africains les moins avancés membres de l’OCI (Le Matin)
Dans un discours adressé à la 15e Conférence au Sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), samedi à Banjul (Gambie), dont lecture a été donnée par le ministre des Habous et des affaires islamiques Ahmed Toufiq, SM le Roi Mohammed VI a affirmé: “Nous avons lancé l’Initiative Afrique-Atlantique en tant que processus de partenariat africain qui a pour finalité suprême de raffermir les liens de coopération et d’intégration entre les pays africains riverains de l’océan Atlantique, pour in fine consolider la paix, la stabilité et la prospérité partagée dans la région”. SM le Roi a également souligné “la nécessité d’entourer de plus de sollicitude les États africains les moins avancés, membres de notre Organisation, afin de les rendre plus aptes à relever les défis qui affectent leur processus de développement”. Concernant l’agression contre Gaza, le souverain a réitéré avec insistance “Notre demande d’un arrêt immédiat, durable et global de cette offensive inédite, ainsi que l’autorisation de l’acheminement des aides humanitaires dans l’ensemble de la bande de Gaza”.
Éducation nationale : la comparution de plus de 200 enseignants devant les conseils disciplinaires compromet la paix sociale dans le secteur (Le Matin)
202 enseignants suspendus ont comparu vendredi devant les conseils disciplinaires des douze Académies régionales d’éducation et de formation du Royaume. De quoi raviver les contestations des syndicats qui s’opposent à cette décision qu’ils jugent contraire à l’exercice du droit de grève. Ils n’ont d’ailleurs pas tardé à réagir en rejetant catégoriquement le traitement réservé à ces enseignants et en appelant à une nouvelle vague de manifestation. Abdellatif Moujahid, membre du bureau national de la Fédération nationale de l’enseignement, affiliée à la CDT, a estimé que la démarche du ministère de tutelle “ne repose sur aucun fondement légitime, étant donné que les intéressés ne faisaient qu’exercer leur droit à la grève. Un droit d’ailleurs garanti par les lois nationales et internationales”. Le ministère affirme que ces enseignants ont non seulement participé aux grèves organisées, mais ont également incité à des actes de violence.
Sécurité alimentaire : la Cnuced renforce les chaînes d’approvisionnement du Maroc (Le Matin)
La Conférence des Nations unies sur le commerce et développement (Cnuced) a sélectionné le Maroc, aux côtés du Liban, de la Barbade et de Trinité-et-Tobago, pour bénéficier d’un programme visant à renforcer la résilience et la durabilité des chaînes d’approvisionnement alimentaire face aux multiples chocs à l’échelle mondiale. Ce projet, qui sera déployé sur la période 2024-2027, soutiendra particulièrement ces pays à devenir plus efficaces dans leurs politiques commerciales et leurs systèmes de transport et de logistique pour assurer leur sécurité alimentaire. Ce programme sera mis en œuvre en partenariat avec des institutions régionales et nationales ainsi que d’autres entités des Nations unies comme la FAO.
Grèves dans les facultés de médecine: les étudiants ouverts au dialogue (L’Economiste)
La grève des étudiants des facultés de médecine publiques dure depuis 4 mois sans qu’aucune sortie de crise ne se profile à l’horizon. C’est ce qui ressort de la conférence de presse organisée par la Commission nationale des étudiants en médecine, médecine dentaire et pharmacie au siège de l’UMT. En dépit de l’intervention des parlementaires qui ont cherché à jouer le rôle de médiation entre le ministre de l’Enseignement supérieur et les étudiants en grève, rien n’a bougé. Pourtant, cela concerne 25.000 étudiants, avec l’épée de Damoclès sur la tête d’une année blanche qui n’arrange ni les étudiants ni le gouvernement. Les étudiants ont modéré leur discours au point de reconnaître qu’ils sont «jeunes de 20 à 23 ans qui peuvent se tromper». Ils réclament le dialogue pour pouvoir revenir dans les amphithéâtres et reprendre leurs cours. Toutefois, ils ont démenti les propos du ministère de tutelle qui a affirmé devant les parlementaires avoir accepté 45 revendications des étudiants sur 50.
Investissements: les nouvelles attributions des CRI (L’Economiste)
Le dernier conseil de gouvernement a officiellement entériné le basculement des CRI du ministère de l’Intérieur vers le département de Mohcine Jazouli. En effet, c’est ce dernier qui a présenté le projet de loi relatif à la réforme des Centres régionaux d’investissement (CRI) et à la création de commissions régionales unifiées d’investissement qui a été adopté par le conseil de gouvernement. Ainsi, la réforme des CRI a permis un changement profond dans l’approche de l’investissement au niveau territorial, car elle a établi le rôle des CRI en tant qu’acteurs de premier plan pour soutenir l’investissement et promouvoir les qualifications et les opportunités économiques. Aujourd’hui, le Maroc est entré dans une nouvelle phase de développement économique, basée sur une augmentation significative des investissements privés, pour qu’ils soient une locomotive du développement économique du pays à l’horizon de 2035. Il s’agit d’accélérer la réalisation des objectifs attendus pour mobiliser 550 milliards de DH d’investissements privés et la création de 500 000 postes de travail d’ici 2026.
Blanchiment d’argent: après cinq ans de réforme, le Maroc livre un bilan honorable (L’Opinion)
Cela fait plus d’un an que le Maroc ne figure plus sur les listes grises du GAFI et de l’Union Européenne grâce à une réforme législative et institutionnelle qui a hissé le Royaume aux standards internationaux. La réforme du dispositif national de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme a donné plus de vigueur à la Justice qui a durci sa lutte contre ce genre de crimes. Grâce à une meilleure coopération avec toutes les autorités compétentes, le Parquet et le corps de la Magistrature ont pu, en l’espace de cinq ans, multiplié par dix le nombre des affaires déférées devant les tribunaux, tout en réduisant les délais de jugement. Ces résultats sont le fruit de l’amélioration des techniques d’investigation et d’une meilleure traçabilité de l’argent sale. Selon le président délégué du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, Mohamed Abdennabaoui, 114 décisions judiciaires sur des crimes de blanchiment de capitaux ont été rendues au premier trimestre 2024.
Le Maroc multiplie par huit la superficie de culture (L’Opinion)
Dans une démarche visant à exploiter les opportunités économiques offertes par le marché mondial du cannabis, le Maroc a considérablement augmenté la superficie des terres autorisées pour sa culture. Cette année, la surface allouée s’élève à 2.078 hectares, soit une multiplication par huit par rapport à l’année précédente, a affirmé Mohamed El Guerrouj, directeur général de l’Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis. L’année dernière, environ 296 tonnes de cannabis avaient été récoltées, selon la même source, lors de la première saison légale. Cette évolution a été accompagnée d’un développement rapide du secteur, avec la formation de coopératives agricoles et la création d’unités industrielles spécialisées dans la production de cosmétiques et de compléments alimentaires. Ces produits devraient être disponibles sur le marché local dès ce mois de mai.
Islamabad aspire à consolider ses relations avec Rabat (L’Opinion)
Le Pakistan aspire à renforcer ses liens avec le Royaume du Maroc. Des responsables pakistanais ont rencontré l’ambassadeur du Maroc à Islamabad, Mohammed Karmoune, pour identifier les secteurs prometteurs. Le président de la Chambre de commerce et d’industrie de la Fédération du Pakistan, Atif Ikram Sheikh, a rencontré ce vendredi l’ambassadeur du Maroc Mohammed Karmoune. A cette occasion, Atif Ikram Sheikh a affirmé que des vols directs et des liaisons aériennes solides devraient être établis entre le Pakistan et le Maroc. “Le commerce avec le Maroc est inférieur aux prévisions. Des coentreprises dans de nouveaux secteurs devront être créées. La CPEC au Pakistan sera un centre commercial majeur à l’avenir. Le Maroc devrait en profiter pleinement”, indiquent les médias du Pakistan.
Infrastructure: une autoroute de connexion pour relier trois axes majeurs (Les Inspirations éco)
Dans le cadre du développement et de la modernisation du réseau routier national, le ministère de l’Équipement et de l’Eau vient de lancer l’étude de définition de l’autoroute de connexion entre les autoroutes de Rabat-Casablanca continentale, Rabat-Fès et Kénitra-Tanger, et ce, pour un montant de 3 MDH. Au-delà de l’amélioration des conditions de déplacement des usagers sur les différents artères, ce nouvel axe autoroutier sera essentiellement destiné à connecter les principaux centres économiques du pays tout en décongestionnant les sections surchargées des grandes métropoles, à l’image de Rabat. Dans cette optique, ce projet vise spécifiquement à édifier une nouvelle infrastructure autoroutière contournant Rabat pour les usagers des axes Rabat-Casablanca, Rabat-Fès et Kénitra-Tanger, réduisant ainsi les distances et les temps de trajet. En outre, il offrira une alternative aux usagers venant de Fès pour rejoindre Tanger ou Casablanca en évitant le passage actuel par la route nationale n° 6.
Ventes de ciment: Évolutions disparates selon les segments (Les Inspirations éco)
Au Maroc, les derniers chiffres des livraisons de ciment des membres de l’Association professionnelle des cimentiers (APC) font état d’un regain d’activité dans le secteur du bâtiment et des travaux publics. Après un début d’année mitigé, le mois d’avril a connu une forte hausse de 21,11% par rapport à la même période en 2023, portant le cumul annuel à 4.102.949 tonnes, soit une augmentation de 3,5%. Cette dynamique positive s’explique principalement par la vigueur des segments de l’infrastructure et du béton prêt à l’emploi (BPE). En effet, les livraisons d’avril ont été dopées par une demande accrue des chantiers d’envergure, tels que les projets d’infrastructures. Justement, ce segment a enregistré une croissance remarquable de 40,95% à fin mars, tandis que le BPE a progressé de 10,29% sur la même période. Cependant, cette embellie masque des disparités sectorielles. Le segment du bâtiment résidentiel et commercial peine toujours à redémarrer, affichant une baisse de 23,45% à fin mars.
Marché du travail: une dynamique complexe (Les Inspirations éco)
En dépit de la résilience de l’économie nationale, face aux contraintes conjoncturelles, telle que confirmée récemment par le FMI, certains défis urgents demeurent posés. Il en est ainsi pour le marché de l’emploi, dont les toutes dernières statistiques, traitant du premier trimestre 2024, montrent une dynamique complexe influencée par une conjoncture économique difficile, notamment à cause des effets persistants de la sécheresse sur l’économie. Les données fournies par le Haut-Commissariat au plan révèlent, en effet, une baisse significative de l’emploi rural contre une hausse modeste en milieu urbain, des taux de chômage en hausse et des conditions de sous-emploi stables mais préoccupantes. Le volume global de l’emploi au Maroc a diminué de 80.000 postes entre les premiers trimestres 2023 et 2024, indique le HCP dans sa note d’information relative à la situation du marché du travail au T1- 2024.
Les ventes de voitures neuves au Maroc en recul (Libération)
Les ventes de voitures neuves au Maroc se sont établies à 48.948 unités durant les quatre premiers mois de l’année 2024, en repli de 0,71% par rapport à la même période en 2023, a indiqué l’Association des importateurs de véhicules automobiles au Maroc (AIVAM). Les nouvelles immatriculations de véhicules particuliers (VP) ont reculé de 3,08% à 43.647 unités à fin avril dernier, tandis que les véhicules utilitaires légers (VUL) écoulés se sont chiffrés à 5.301 unités (+24,29%), a ajouté l’Association, qui vient de publier ses statistiques mensuelles. La marque “Dacia” domine le segment des VP, avec une part de marché de 27,5%.
Bilan à mi-mandat du gouvernement : aucun des 10 engagements pris n’a été tenu ! (Al Bayane)
Le Secrétaire Général du PPS, Mohammed Nabil Benabdallah, a souligné qu’au-delà de quelques réalisations, le gouvernement n’a tenu aucun de ses dix engagements et a brillé par son absence politique et continué de fuir les questions de démocratie et de droits des hommes. S’exprimant lors d’une émission sur la chaîne MEDI 1 TV, consacrée au bilan à mi-mandat du gouvernement, Benabdallah a appelé le gouvernement à s’occuper du champ politique, car il constitue «notre champ commun, celui de la démocratie». Benabdallah a également fait savoir que le gouvernement ne compte aucun bilan au niveau de la préparation des futures échéances pour ouvrir la voie à des potentialités nouvelles. Il a attiré l’attention sur le danger que représentent aujourd’hui ceux qui squattent le champ politique et celui des institutions élues et qui représentent ce que le Maroc a produit de pire.
Des appels à augmenter les pensions des retraités à l’issue de l’accord social (Al Akhbar)
L’accord social scellé entre le gouvernement et les syndicats les plus représentatifs, prévoyant notamment une augmentation générale des salaires de 1000 dirhams, répartie sur deux tranches, a suscité des appels à augmenter les pensions des retraités au sein de la CNSS. Le secrétaire général de l’Organisation démocratique du travail (ODT), Ali Lotfi, a appelé le gouvernement à faire droit à la catégorie sociale des retraités, qui a été « négligée » durant le dernier dialogue social. Dans une déclaration au quotidien, Lotfi a indiqué que les «retraités ont payé le plus lourd tribut en contribuant dans tous les secteurs, mais ont été oubliés et négligés par le gouvernement, malgré les règles établies dans tous les pays du monde prévoyant une hausse des pensions des retraites à chaque fois qu’il y a une hausse des salaires de la population active.
Mendicité : alternatives et sanctions (Al Ahdath almaghribia)
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a souligné que l’approche adoptée actuellement au niveau national concernant la lutte contre le phénomène de la mendicité manque d’efficacité. Le CESE a mis en évidence, dans un avis intitulé « pour une société cohésive exempte de mendicité », l’importance de revoir le cadre juridique, notamment en décriminalisant la mendicité, en oeuvrant à renforcer les sanctions pénales à l’encontre de l’exploitation de la mendicité d’autrui. Il importe, en parallèle, de proposer des alternatives viables à la mendicité, à travers le renforcement des politiques d’assistance sociale, le développement des activités génératrices de revenus et l’amélioration de la prise en charge des personnes atteintes de troubles psychiatriques. Le CESE a également mis l’accent sur l’importance de « la prévention de la mendicité », en renforçant la résilience socio-économique des ménages, qui passe inéluctablement par la lutte contre la pauvreté et les inégalités sociales et spatiales et l’amélioration de l’accès aux soins, à l’éducation, à la formation et à l’emploi.
Les « cadors des partis politiques » oeuvrent à renverser les technocrates (Assabah)
Les cadors des partis politiques de la majorité oeuvrent à écarter les ministres dits « technocrates » dans le cadre du remaniement gouvernemental attendu, selon des sources du quotidien, qui ont indiqué que les membres influents des partis exercent des pressions sur les dirigeants au sein des composantes de la majorité afin de bénéficier de postes ministériels, ou semi ministériels (secrétaire d’État). Les cadors des partis au sein de la majorité se sont mobilisés pour un changement au sein du gouvernement à travers l’élimination des technocrates, soulignant l’importance d’installer les hommes et les femmes politiques dans leurs places pour accélérer les chantiers de développement et faire face aux critiques sévères des partis de l’opposition, qui accusent le gouvernement d’être incapable de mettre en œuvre le programme gouvernemental, tout en exerçant un contrôle et une démarche hégémonique dans l’ensemble des institutions de l’État.
Grève nationale les 7 et 8 mai dans tous les établissements hospitaliers (Al Alam)
La crise plane toujours sur le secteur de la santé après le refus des syndicats de l’offre présentée par le ministère de la Santé. La coordination syndicale a annoncé une grève nationale du secteur mardi et mercredi prochains, en réponse à « la poursuite de la négligence et de l’obstination du gouvernement à répondre aux attentes des professionnels du secteur », selon un communiqué de la coordination, qui a souligné la nécessité de « préserver les droits et les acquis des professionnels de santé, et à leur tête la qualification de fonctionnaire de l’État, d’assurer la gestion des postes budgétaires et des salaires du budget général de l’État, de préserver leurs situations administratives actuelles telles que décrétées dans le statut général de la fonction publique ainsi que toutes les garanties qu’il apporte ». la coordination a tenu, dans ce sens, le gouvernement responsable de la situation de congestion caractérisant le secteur de la santé et des grèves ainsi que tout ce qui peut en découler en termes de perturbation des services sanitaires, nuisant ainsi à la réussite du chantier de réforme du système de santé.
Acquittement du président du groupe parlementaire PAM (Al Massae)
La Chambre criminelle de Première instance spécialisée dans les crimes financiers près la Cour d’Appel de Marrakech a décidé l’acquittement du président du groupe PAM à la Chambre des représentants et ancien président de la commune Ait Ourir (province d’Al Haouz), et de ne pas le tenir responsable du crime de détournement et dilapidation de fonds publics. Elle a également blanchi un entrepreneur et un salarié de la même commune du crime de détournement et dilapidation de fonds publics en réunion dans le cadre du procès pénal. La Chambre s’est par ailleurs dite incompétente pour connaitre de l’action civile.
Le Burkina Faso salue l’Initiative Africaine Atlantique lancée par SM le Roi Mohammed VI (Rissalat Al Oumma)
Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’Extérieur, Karamoko Jean Marie Traoré, a salué l’Initiative Africaine Atlantique lancée par SM le Roi Mohammed VI au profit des Etats du Sahel. Dans une déclaration à la presse à l’issue de son entretien, samedi à Banjul, avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, le chef de la diplomatie burkinabè a indiqué que le Burkina Faso, “un pays enclavé”, a accueilli favorablement cette Initiative Royale permettant aux pays du Sahel d’avoir un accès à l’Océan Atlantique.
HCP : démarrage des entretiens pour sélectionner les candidats souhaitant participer au RGPH 2024 (Bayane Al Yaoum)
Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) a annoncé le démarrage des entretiens pour sélectionner les candidats souhaitant participer au Recensement général de la population et de l’habitat (RGPH) 2024. “Le Haut-Commissaire au Plan a tenu, jeudi 02 mai 2024, une réunion, en présence des directeurs centraux et régionaux, consacrée à l’examen de l’avancement des préparatifs pour la réalisation du Recensement Général de la Population et de l’Habitat 2024”, indique le HCP dans un communiqué. Cette réunion a été l’occasion de présenter les données concernant l’évolution des candidats dans la phase de formation à distance, fait savoir la même source, notant qu’un nombre important de ces candidats ont accompli cette phase avec succès.
Hammouchi reçoit l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume d’Arabie Saoudite au Maroc (Al Ittihad alichtiraki)
Le Directeur général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire, Abdellatif Hammouchi, a reçu, vendredi à Rabat, l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume d’Arabie Saoudite au Maroc, Sami bin Abdullah Al-Saleh. Cette entrevue s’inscrit dans le cadre d’une visite de travail et de coopération effectuée par l’Ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite à Rabat au bureau du Directeur Général de la Sûreté Nationale et de la Surveillance du Territoire pour s’entretenir de différentes questions sécuritaires d’intérêt commun, indique une source sécuritaire.
Les CDG du Maroc, de France, d’Italie et de Tunisie renforcent leur coopération face aux défis du bassin méditerranéen (Assahra almaghribia)
Les directeurs généraux des Caisses de Dépôts du Maroc, Khalid Safir, de France, Eric Lombard, d’Italie, Dario Scannapiecco, et de Tunisie, Nejia Gharbi, réunis au siège de la Cassa Depositi e Prestiti à Rome, ont réaffirmé leur ambition commune d’identifier des solutions permettant de faire face collectivement aux défis que connait le bassin méditerranéen. Les responsables ont “acté la création d’un cadre permanent de concertation (CPC) favorisant d’une part le partage de bonnes pratiques et d’expertise entre les Caisses, et d’autre part, les interactions avec l’écosystème financier méditerranéen pour promouvoir la mise en œuvre de projets concrets ayant un impact direct pour les populations”, indique un communiqué de la Caisse de dépôt et de gestion du Maroc. Membres du Forum des Caisses de Dépôt, les Caisses marocaine, française, italienne et tunisienne entretiennent des relations historiques et riches basées sur la confiance, le partage et le respect mutuel, note le communiqué.
MAP 06 Mai 2024