Dialogue social: hausse du SMIG et des salaires dans le public (L’Economiste)
Hausse des salaires dans le secteur public, augmentation du Smig. réaménagement de la grille de l’impôt sur le revenu…, les tractations se sont poursuivies durant tout le week-end entre les syndicats et le gouvernement. «Nous avons réussi à obtenir une revalorisation de 10% du Smig et de 1.000 DH des salaires dans le secteur public», a déclaré à L’Economiste Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’UMT. Ces hausses devraient intervenir en deux temps. Pour le Smig, 5% devraient être accordés soit en septembre 2024 soit en janvier 2025 et la deuxième tranche (5%) une année plus tard. Sur la date d’entrée en vigueur de la hausse du Smig, les négociations se sont poursuivies durant tout le weekend et ont été serrées particulièrement sur la date de mise en œuvre.
Gouvernement: Akhannouch confirme un prochain gouvernement (L’Economiste)
Devant deux journalistes de la télévision publique, le chef du gouvernement a cherché à convaincre de la solidité de son bilan à mi-parcours, présenté mercredi devant les deux Chambres réunies du Parlement. Aziz Akhannouch a abordé publiquement, pour la première fois, ce qui se dit en coulisses depuis bientôt deux mois. Il s’agit de la possibilité de procéder à un remaniement ministériel après le congrès de l’Istiqlal. Ainsi, les partis de la majorité prendront une pause pour déterminer les priorités. Selon lui, quand tous les alliés seront prêts, “nous verrons comment gérer la prochaine étape”. Akhannouch n’a pas fourni de détails sur le remaniement, très suivi par les dirigeants des partis qui jouent des coudes pour décrocher un portefeuille ministériel. Il s’est contenté des généralités pour souligner que pendant deux ans et demi, “les même ministres ont travaillé et obtenu de bons résultats. Nous verrons ce qui se passera lorsqu’on entame la discussion entre les partis de la majorité”.
Conseil de la concurrence: l’indispensable refonte du secteur de l’électricité (L’Economiste)
Le secteur de l’électricité a besoin d’un électrochoc. Il est nécessaire face à la cartographie de signaux faibles, voire des risques encourus dressés par le Conseil de la concurrence dans son avis sur “l’état de la concurrence dans le secteur de l’électricité et perspectives de son développement”. Il appelle à une révision du modèle pour dynamiser la concurrence sur le marché de la production d’électricité et accélérer les réformes. Le marché est caractérisé par la présence de nombreux intervenants publics et privés, dont l’organisation est centrée autour de l’Office national de l’eau et de l’électricité. L’Office reste le principal fournisseur d’énergie électrique et assure plusieurs fonctions clés: la production, la gestion du réseau de transport, la distribution et l’équilibre offre-demande. Mais la multiplicité des intervenants institutionnels pose plusieurs problèmes organisationnels: un manque de mutualisation des ressources financières et humaines, des problèmes d’efficience dans la planification, la coordination et la prise de décision pour la mise en œuvre des réformes, et plusieurs tutelles techniques.
Gouvernement : deux économistes passent au peigne fin le bilan de mi-mandat (Le Matin)
Après 30 mois à la tête du gouvernement, Aziz Akhannouch a dressé un bilan d’étape qualifiant les réalisations de «succès dépassant toutes les attentes». Mais les experts et les observateurs restent partagés. Pour Abdelghani Youmni, économiste spécialiste des politiques publiques, si des avancées notables ont été réalisées, d’importantes lacunes persistent, notamment en matière d’accès aux soins et de création d’emplois. Marouane Hatim, membre du Collectif d’intelligence économique au Québec, souligne quant à lui que des progrès indéniables ont été réalisés dans les domaines industriels et agricoles ainsi qu’en matière de réformes sociales. Au-delà de ces constats, tous les experts s’accordent à dire que des défis majeurs attendent encore l’Exécutif dans les mois qui le séparent encore de la fin de son mandat.
Mission française : la nouvelle hausse des frais de scolarité indigne les parents d’élèves (Le Matin)
La rentrée scolaire 2024-2025 s’annonce déjà mouvementée dans les établissements d’enseignement français. Face à la nouvelle augmentation des frais de scolarité, les parents d’élèves ne décolèrent pas. Pour eux, la mesure est comble, d’autant que cette hausse n’est pas accompagnée d’améliorations palpables ni au niveau des structures d’accueil ni au niveau de la qualité de l’enseignement. Ils comptent aller jusqu’au bout pour faire entendre leur voix.
Après le solaire et l’éolien, Masen franchit le cap de l’hydroélectrique (Le Matin)
Masen amorce un tournant majeur dans son engagement en faveur des énergies renouvelables. Après les projets solaires et éoliens, l’Agence s’apprête à développer des centrales hydroélectriques. Un expert est en cours de recrutement pour l’accompagner tout au long du processus du développement de ce nouveau chantier, notamment pour étudier la faisabilité d’associer une centrale hydroélectrique au niveau des barrages Agdz, Moukhtar Soussi, Oued Lakhdar (Nou- veau Sidi Driss), Ratba, Ribat El Kheir, Sidi Abbou et Taghzirt.
Tomate cerise: l’origine Maroc pointée dans des supermarchés français (Les Inspirations éco)
Une nouvelle fois, l’origine Maroc est pointée par les agriculteurs européens, notamment français. À l’initiative de l’organisation Légumes de France, association spécialisée de la Fédération national des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), des producteurs affiliés à cette entité ont dénoncé, vendredi 26 avril, la concurrence qualifiée de «déloyale» des tomates cerises marocaines en menant des actions d’étiquetage dans des grandes surfaces à Agen, à Rennes, à Brest et à Avignon. Un autre acharnement à l’encontre des produits agricoles marocains, notamment contre les produits d’un groupe franco-marocain spécialisé dans la filière fruits et légumes qui s’ajoute au récent épisode du blocage des produits agricoles marocains entraînés par la grève des agriculteurs européens contre la politique agricole de l’UE.
Levée à l’international : OCP réussit son pari (Les Inspirations éco)
OCP confirme sa place privilégiée sur les marchés financiers internationaux, en réussissant la levée de fonds exceptionnelle de 2 milliards de dollars sur les marchés obligataires. Cette opération représente la plus grande transaction jamais réalisée par le groupe, signe d’une stratégie d’expansion ambitieuse et d’un engagement fort envers la durabilité environnementale. L’émission record s’articule autour de deux tranches avec des maturités de 10 et 30 ans. La tranche à 10 ans a levé 1,25 milliard de dollars à un taux de 6,75 %, tandis que celle à 30 ans a atteint 750 millions de dollars avec un coupon de 7,5 %. Cette structure témoigne de la confiance renouvelée des investisseurs dans la solidité financière et les perspectives de croissance durable du groupe. Un analyste financier estime que «cette réussite record met en évidence la robustesse du profil de crédit de OCP, qui consolide sa position de leader sur le marché international des engrais grâce à des performances industrielles et financières impressionnantes sur les dernières années».
Mohamed Zidouh après la réélection de Nizar Baraka: “La priorité est de se focaliser sur le travail de terrain au niveau des régions” (L’Opinion)
Le 18ème Congrès du Parti de l’Istiqlal s’est déroulé dans “un climat familial”. “C’est une étape extrêmement importante dans la mesure où le nouveau leadership aura la mission de conduire le parti jusqu’en 2026, l’année des échéances électorales”, a affirmé Mohamed Zidouh, conseiller parlementaire et membre du comité central du parti de l’Istiqlal. “Maintenant, le parti se renouvelle avec un nouvel élan, il en est de même pour nos structures, y compris dans les régions”, at-il déclaré au journal. “L’Istiqlal, tout le monde le sait, a toujours été une école de formation politique. Ce travail de formation doit nécessairement rester ancré sur le terrain au niveau des régions afin que nous puissions agrandir notre base militante”, a-t-il ajouté.
Produits pétroliers: le Maroc importe près de 76.000 tonnes depuis la Russie (L’Opinion)
Le Maroc figure incessamment parmi les principaux clients de Moscou en Afrique. Il a importé 76.000 tonnes de produits pétroliers russes, acheminés sur une semaine depuis les ports de Primorsk, Novorossiysk et Saint-Pétersbourg, devançant ainsi la Tunisie et le Sénégal qui ont importé respectivement 46.000 tonnes et 5.000 tonnes, selon la plateforme Enkorr, spécialisée dans l’actualité énergétique. Cette importante hausse des expéditions de gasoil russe au Maroc s’explique par la stratégie de diversification des fournisseurs adoptée par le Royaume en vue d’assurer son approvisionnement continu en produits pétroliers. Outre cela, l’intérêt des opérateurs marocains pour les produits russes trouve son origine dans le prix bon marché proposé par la Russie par rapport à d’autres pays, d’autant plus que le Royaume importe encore environ 85 % de sa consommation intérieure de dérivés du pétrole et de combustibles fossiles de l’étranger.
Maroc-Brésil: Vers le renforcement de la coopération agricole (L’Opinion)
Une délégation du ministère de l’Agriculture et de l’Élevage du Brésil (MAPA), qui s’est récemment rendue au Maroc, a rencontré des responsables de l’Office national marocain de sécurité alimentaire (ONSSA), dans l’optique de tenir des réunions bilatérales et de signer des accords en faveur de l’agriculture des deux pays, selon un communiqué du ministère de tutelle brésilien. Les parties brésiliennes ont progressé dans les négociations visant à ouvrir le marché marocain aux produits brésiliens, notamment les produits laitiers, le miel, les produits apicoles, les peaux et le matériel génétique bovin. En outre, l’ouverture de contingents tarifaires pour les importations de viande bovine et de volaille a également été discutée, étant donné que les droits de douane du Maroc atteignent 200 % pour la viande bovine congelée et 100 % pour la viande de poulet fraîche. D’autre part, les représentants du MAPA ont accepté d’autoriser l’importation de mandarines du Maroc vers le Brésil. Le Royaume est la quatrième destination principale des exportations brésiliennes vers l’Afrique.
Clôture de la 16ème édition du SIAM: la barre du million de visiteurs dépassée (Al Bayane)
La 16ème édition du SIAM, qui s’est déroulée à Meknès du 22 au 28 avril 2024, a connu un franc succès. Tout au long de cette semaine, le Salon a mis en lumière l’importance vitale de développer des systèmes agricoles durables et résilients, dans une conjoncture marquée par le stress hydrique et le déficit pluviométrique. Le SIAM a aussi mis en valeur la diversité des produits du terroir marocain et l’artisanat local, offrant aux coopératives et aux associations une opportunité de développement économique et de promotion à l’échelle nationale et internationale. Dans une conférence de presse, le commissaire par intérim du Salon, Kamal Hidane, a souligné que le SIAM a attiré plus d’un million de visiteurs, confirmant ainsi “son rôle de plateforme incontournable pour l’agriculture à l’échelle internationale et continentale”.
Paiement mobile : L’encours global des M-Wallets en hausse de 25% en 2022 (Libération)
L’encours global des M-Wallets émis par les établissements bancaires et de paiement est passé de 6,3 millions de dirhams (MDH) en 2021 à 7,7 MDH à fin 2022, soit une progression de 25%, ressort-il de la troisième édition du rapport annuel de la Stratégie nationale d’inclusion financière (SNIF). L’activité du paiement mobile continue son évolution avec 22 offres M-Wallets disponibles sur le marché, à fin 2022, dont 14 émises par des établissements de paiement, indique ce rapport élaboré par Bank-Al Maghrib, la Direction du Trésor et des Finances Extérieures (DTFE), l’Autorité de Contrôle des Assurances et de la Prévoyance Sociale (ACAPS), l’Autorité Marocaine du Marché des Capitaux (AMMC), la Fédération Nationale des Associations de Microcrédit (FNAM), la Fondation Marocaine pour l’Education Financière (FMEF) et l’Association professionnelle des établissements de paiement (APEP).
Le gouvernement donne son aval pour une augmentation des salaires (Al Ahdath almaghribia)
Après le silence sur les détails de l’offre du gouvernement, tout au long des rounds de dialogue social, des données sûres parvenues au journal révélant que le gouvernement et les syndicats vont signer ce lundi un procès-verbal pour la mise en oeuvre des engagements comprenant des acquis au niveau de l’amélioration du revenu. Des sources sûres ayant assisté au dialogue ont fait savoir dans une déclaration au quotidien que l’augmentation générale des salaires convenue porte sur 1000 dirhams sur deux tranches, outre une baisse sur l’impôt sur le revenu dont l’impact oscille autour de 150 et 400 dirhams. Les mêmes sources ont ajouté que la divergence entre le gouvernement et les syndicats concernait la mise en œuvre de cette augmentation, alors que les syndicats revendiquaient l’application de la première tranche estimée à 500 dirhams à partir de juillet prochain puis la 2ème tranche le même mois de l’année prochaine, le gouvernement a tenu à ce que la première tranche soit en juillet 2025 et la deuxième le même mois de 2026.
Al Omran lance une stratégie de communication numérique (Al Akhbar)
Le Groupe Al Omran, acteur majeur du secteur de l’immobilier au Maroc, a mis en place une stratégie de communication numérique active et efficace et ce, à travers la consolidation de sa présence dans les différents réseaux sociaux. Une source du groupe a fait savoir que l’analyse du rendement digital du groupe sur les différentes plateformes de réseaux sociaux et l’évaluation de l’impact et de l’interaction avec les campagnes révèlent une grande affluence sur les plateformes du groupe dans la mesure où le nombre d’impressions a atteint plus de 20 millions. La même source a affirmé que la hausse importante du nombre d’impressions fait ressortir l’amélioration de la visibilité du groupe Al Omran sur les réseaux sociaux, une démarche nécessaire pour renforcer la présence de la marque commerciale.
Nizar Baraka réélu à l’unanimité secrétaire général de l’Istiqlal (Al Alam)
Nizar Baraka a été réélu à l’unanimité, dimanche à Bouznika, secrétaire général du Parti de l’Istiqlal (PI) pour un second mandat, au terme de l’opération de vote qui s’est déroulée lors de la première session du Conseil national du parti. Baraka était candidat unique après que Rachid Afilal ait retiré sa candidature pour le poste de secrétaire général du parti, qui tenait son 18è Congrès national sous le thème “Renouveler le pacte pour la patrie et le citoyen”. Dans une allocution prononcée à cette occasion, Baraka a salué les efforts de l’ensemble des Istiqlaliens pour avoir fait de cette étape “historique” un succès et pour avoir renouvelé la confiance dans le “projet collectif” amorcé lors du 17ème congrès, exprimant sa détermination à poursuivre la mise en œuvre dudit projet en traçant la prochaine étape afin d’améliorer la performance du parti, son positionnement et son rayonnement, ainsi que son efficacité au service de la Nation et des citoyens.
Le Conseil de la Concurrence fait état d’une perte abiotique de 40 pc des fruits et légumes (Assabah)
Le Conseil de la concurrence fait savoir qu’au niveau national, les estimations disponibles font état d’une perte abiotique (post récolte) de 20% à 40% de fruits et légumes au niveau du marché local, ce qui se traduit par une réduction de l’offre potentielle et une augmentation finale, possible, des prix à la consommation. Dans son rapport publié sur son portail électronique, le conseil relève que ces pertes sont soit des quantités invendues, soit des déperditions dues aux circuits longs qui incorporent des aléas de transport, de manutention et d’entreposage, précisant que ce gaspillage pénalise également l’usage des facteurs de production et engendre des coûts d’opportunité importants, notamment au niveau de l’utilisation de l’eau dans un contexte où le stress hydrique menace tout le secteur. Le conseil a appelé à la gestion efficace de la périssabilité des fruits et légumes et à l’optimisation des circuits de distribution et l’adoption d’une stratégie de valorisation permettant de réduire ces pertes à l’instar des produits destinés à l’export où les pertes à déplorer ne sont que de l’ordre de 3% à 5%. Le rapport a révélé aussi des carences en matière de contrôle des prix, notant que les intermédiaires s’approprient en moyenne près de 34% du prix final.
Conseil de sécurité: Le Mouvement des non-alignés salue les efforts de SM le Roi en faveur de la cause palestinienne (Bayane Al Yaoum)
Le Mouvement des non-alignés (NAM) a salué, devant le Conseil de sécurité de l’ONU, les efforts de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al-Qods, en faveur de la cause palestinienne. Cette déclaration a été faite lors de l’intervention de la délégation permanente de l’Ouganda aux Nations Unies, présidente du Bureau de coordination du NAM, à l’occasion d’un débat ouvert organisé jeudi par le Conseil de sécurité sur la situation au Moyen-Orient, y compris la question palestinienne. Cette reconnaissance de la part du Mouvement des non-alignés, qui compte 120 Etats membres de l’ONU, se veut une appréciation sans ambages du leadership de Sa Majesté le Roi, en tant que Président du Comité Al-Qods et des efforts inlassables du Souverain sur la scène internationale, en vue de soutenir la cause palestinienne, préserver le statut spécifique de la ville sainte et assister les populations Maqdissies.
L’OSPDH dénonce les exécutions arbitraires de jeunes séquestrés dans les camps de Tindouf (Al Ittihad alichtiraki)
L’Observatoire du Sahara pour la Paix, la démocratie et les droits de l’Homme (OSPDH) a dénoncé les exécutions arbitraires de jeunes séquestrés dans les camps de Tindouf. Dans un communiqué, l’OSPDH a condamné ces exactions qui violent le droit à la vie de la population des camps de Tindouf, tenant l’État algérien et les dirigeants du Polisario pour responsables de ces crimes. Au mépris total des craintes exprimées par les organisations internationales et dans des rapports onusiens, dont celui du Secrétaire général des Nations Unies, quant à la récurrence de ces crimes, les forces algériennes ont délibérément exécuté trois jeunes civils séquestrés dans les camps de Tindouf, issus du camp de Dakhla, près du site minier “Ghar Ajbilat”, au sud de Tindouf.
Sommet social mondial: Hilale s’entretient à Genève avec les directeurs généraux des organisations internationales (Assahra almaghribia)
L’ambassadeur, représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU à New York, Omar Hilale, en sa qualité de co-facilitateur du processus onusien relatif au Sommet social mondial, a effectué une visite de travail à Genève avec son homologue belge, Philippe Kridelka, du 22 au 24 avril courant. Cette visite s’inscrit dans la préparation des modalités dudit Sommet qui aura lieu en 2025. Lors de ce déplacement, Hilale a eu des réunions avec le Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, la Directrice générale de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC), Ngozi Okonjo-Iweala, le Haut-commissaire aux droits de l’Homme (HCNUDH), Volker Turk et le Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCNUR), Filippo Grandi.
Pour un nouveau paradigme pour les relations économiques Maroc-France (Rissalat Al Oumma)
Les participants au Forum économique Maroc-France, tenu vendredi à Rabat, sous le thème “Ensemble vers un élan renouvelé des opportunités économiques et sociales”, ont appelé à à concevoir les relations économiques Maroc-France à travers un nouveau paradigme, dont les maîtres mots sont le “made with Morocco” en vue d’une meilleure complémentarité et intégration des deux économies. Le directeur général du Fonds Mohammed VI pour l’Investissement, Mohamed Benchaaboun a, ainsi, estimé que le nouveau paradigme devrait s’appuyer sur une relation solide qui, s’inscrivant dans le temps et tirant profit de l’histoire commune et riche des deux pays, est totalement en phase avec les ambitions et objectifs que le Maroc s’est fixées sous le leadership éclairé de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
MAP 29 Avril 2024