Les dernières informations de la presse nationale de ce mardi 20/03/2024:

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Les dernières informations de la presse nationale de ce mardi 20/03/2024:

 Droit de grève: dénouement en avril (L’Economiste)

C’est l’un des textes les plus attendus. Le projet de loi organique régissant le droit de grève sera finalement relancé. «Le round d’avril du dialogue social devra connaître une issue heureuse pour ce projet important». L’annonce a été faite par le ministre de tutelle, Younes Sekkouri, lors de son passage au Club de L’Economiste. «Nous sommes arrivés à un stade très avancé sur ce sujet», a précisé le ministre, qui affirme avoir été «agréablement surpris par la réactivité des acteurs sociaux». Surtout «lorsqu’ils comprennent qu’il n’y a pas d’agenda derrière». Concrètement, le dispositif régissant l’exercice du droit de grève sera ainsi relancé dès le mois prochain. Gouvernement et partenaires sociaux ont convenu de “ne pas retirer le texte déjà soumis au Parlement en 2016”.

 Avocat: rendement exceptionnel et d’exportations record (L’Economiste)

Cap de fin pour la saison 2023-2024 de l’avocatier. Malgré la crise hydrique, la filière maintient sa croissance et enregistre une nouvelle performance avec une production nationale de 65.000 tonnes, selon l’Association marocaine des exportateurs d’avocats (Morocco Avocado Association, MAVA). La saison précédente, elle a affiché 40.000 tonnes. Cette hausse significative, de 62,5%, impacte positivement les expéditions de ce fruit très apprécié au niveau international. «Cette année, les résultats sont très positifs. Une production de 65.000 tonnes et des exportations ayant atteint un volume de 57.000 tonnes. Les principales destinations sont les pays d’Europe, comme l’Espagne, la France, les Pays-Bas, l’Italie, l’Allemagne… la Russie», indique Abdellah Elyamlahi, président de la Mava. Malgré un début de saison très dur à cause de la violente tempête de vent et de pluie, connue sous le nom de Bernard, qui a frappé la région du Loukkos et du Gharb en octobre dernier, la filière a réussi à résister.

 Tourisme: Le Maroc mise sur un “renouveau” d’envergure (Les Inspirations éco)

Après avoir traversé une période difficile lors de la pandémie de covid-19, le secteur touristique marocain se prépare à connaître un regain spectaculaire. Selon un rapport de Valoris Securities, une stratégie ambitieuse a été mise en place pour assurer un «renouveau touristique» au Royaume. Cette feuille de route 2023-2026 affiche des objectifs très élevés : accueillir 17,5 millions de touristes, générer 120 milliards de dirhams de recettes et créer 200.000 emplois directs et indirects. Pour atteindre ces objectifs, le gouvernement a débloqué un budget colossal de 6,1 milliards de dirhams. L’organisation de la Coupe du monde 2030 au Maroc devrait avoir un impact économique très positif. En se basant sur l’exemple du Qatar en 2022, l’impact sur le PIB marocain pourrait se situer entre 0,6% et 0,9% si le Royaume organise un tiers des matches.

Disparités économique pendant ramadan: Le Maroc parmi les bons élèves (Les Inspirations éco)

Les données récentes de l’indice des prix des repas Fortune Arabia dévoilent une réalité économique criante au sein de plusieurs nations arabes pendant le mois sacré du Ramadan. Cette période de jeûne et de dévotion met en lumière des contrastes saisissants entre le coût des repas traditionnels d’Iftar et les revenus mensuels minimums dans différents pays arabes. Avec des différences notables dans le coût d’un seul repas, le Maroc se situe parmi les nations offrant des tarifs relativement accessibles, avec un coût moyen de 13,95 dollars pour un repas. La Syrie émerge en tête de liste, confrontée à un écart frappant de 2.124% entre le coût moyen des 30 repas Iftar du Ramadan, estimé à 415,8 dollars, et le salaire mensuel minimum dérisoire de seulement 19,57 dollars. L’Algérie suit de près, avec un écart de 364,9%, malgré une différence notable entre le coût total des repas du mois sacré, atteignant 543,3 dollars, et un salaire minimum de 148,87 dollars.

Le dialogue social reprend mardi prochain, les syndicats dans l’expectative (Le Matin)

Le dialogue social reprendra avec une nouvelle session programmée pour le mardi 26 mars et qui devrait être présidée par Aziz Akhannouch. Un rendez-vous très attendu, le précédent round de septembre dernier ayant été ajourné à la demande du Chef du gouvernement en raison du tragique séisme d’Al Haouz. Si la date est désormais connue, l’ordre du jour n’est pas encore fixé, ce qui suscite la réserve des syndicats, à l’image de l’UMT qui refuse l’idée d’un «dialogue pour le dialogue», alors que de nombreux chantiers restent en souffrance… l est important de rappeler qu’outre la revalorisation salariale et la révision de l’impôt sur le revenu (IGR), d’autres chantiers majeurs attendent toujours d’être menés à bien. Certains de ces dossiers épineux font d’ailleurs figure d’héritage encombrant, transmis par les gouvernements successifs bien avant la nouvelle Constitution de 2011. C’est notamment le cas de la loi organique relative au droit de grève, pourtant inscrite dès la Constitution de 1996. La loi sur les syndicats figure aussi à l’agenda depuis le gouvernement de l’alternance, tout comme la révision du Code du travail.

Khadija El Amrani, avocate et militante associative : «Une lueur d’espoir qui annonce la couleur de la prochaine Moudawana» (Le Matin)

Les dernières notes des consulats du Maroc à New York et à Madrid annonçant la suppression de l’obligation pour les mères de demander l’autorisation du père pour l’obtention ou le renouvellement du passeport de leurs enfants sont, selon Khadija El Amrani, avocate au barreau de Casablanca et présidente fondatrice de l’association W-Lady, une lueur d’espoir qui annonce la couleur de la prochaine Moudawana. S’agissant de la valeur juridique de ces deux notes, Mme El Amrani affirme qu’il s’agit de «décisions d’assouplissement» et de «mesures d’urgence», bien qu’elles soient contraires à la loi en vigueur actuellement. Mais l’État, précise-t-elle, a le privilège de puissance publique et les ministères de l’Intérieur et des Affaires étrangères peuvent, en attendant la réforme, faire appel à ce type de prérogative.

Les adouls accusent Abdellatif Ouahbi de revenir sur ses engagements et prolongent leur grève (Le Matin)

Le torchon brûle entre les adouls et le ministère de la Justice. En effet, depuis lundi dernier, ils ont entamé une grève qui se poursuivra jusqu’au 31 mars. Ce débrayage intervient un mois seulement après une première grève de 10 jours organisée du 29 janvier au 5 février dernier. À travers ces mouvements de protestation, les adouls expriment leur colère contre les déclarations du ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, prononcées le 23 janvier dernier à la Chambre des conseillers. Le ministre avait annoncé son refus d’accorder le droit à ces professionnels de pratiquer certains actes liés aux transactions immobilières, notamment le droit de dépôt. Réagissant à certains amendements apportés au projet de loi relatif à la profession des adouls, «sans concertation» avec les adouls, ces derniers appellent à une réouverture urgente du dialogue avec le ministère de la Justice afin de réexaminer ces points. Ils annoncent d’ailleurs une troisième grève de 21 jours, prévue à partir du 8 avril prochain, pour faire entendre leur voix, tout en réaffirmant leur détermination à poursuivre la bataille jusqu’à l’obtention d’une réponse favorable à leur revendication.

Code de procédure pénale: Vers l’assouplissement de la machine judiciaire ? (L’Opinion)

Après des mois de préparation, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, s’apprête enfin à dévoiler la réforme du Code de procédure pénale, fruit d’une série de consultations menées auprès de l’ensemble des acteurs concernés. Ce texte est très attendu aussi bien par les avocats que par les professionnels du droit, d’autant qu’il devrait apporter plusieurs nouveautés en matière de droit de la défense. Interrogatoires de police, régime de garde à vue, détention préventive, peines alternatives, instruction judiciaire… la nouvelle procédure promet beaucoup de changements et devrait redéfinir le rapport de force entre la défense et le parquet.

Entrée en vigueur de nouveaux amendements au règlement intérieur (L’Opinion)

Le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) a annoncé, lundi, l’entrée en vigueur de 15 amendements apportés à son règlement intérieur, sur un total de 18 dispositions, que la Cour constitutionnelle a déclarées conformes aux dispositions de la Constitution et de la loi organique du Conseil n°128.12. Parmi les nouveaux amendements figurent l’élaboration d’un manuel de procédures internes pour la préparation des avis et des études du Conseil, ainsi que la mise en place d’un code d’éthique. Il s’agit également de l’organisation de sessions de dialogue interactif par le biais des plateformes électroniques du Conseil créées à cet effet, afin de permettre aux citoyens de contribuer à la discussion des questions dont le Conseil est saisi. En plus, ces amendements comprennent l’organisation des ateliers interactifs spéciaux, en coordination avec les autorités régionales et les organes consultatifs établis dans les Conseils régionaux.

Le changement climatique préoccupe les dirigeants marocains (Les Inspirations Éco)

Modération et optimisme sont les mots d’ordre qui reviennent chez les dirigeants marocains interrogés dans le cadre de la PwC CEO Survey. En effet, 90% d’entre eux misent sur une augmentation ou une stagnation de la croissance au Maroc en 2024, contre seulement 29%, l’année dernière. Cependant, ils sont préoccupés par plusieurs risques internes et externes. La menace cybersécuritaire est toujours au cœur des préoccupations des dirigeants mondiaux et marocains. Au Maroc, la proportion des responsables qui se disent fortement ou extrêmement exposés aux cybermenaces est passée de 13% à 17%. L’autre préoccupation des dirigeants marocains, à des degrés plus ou moins importants, est le changement climatique. 56% d’entre eux considèrent qu’il s’agit d’un facteur de risque élevé et plus de 51% tentent déjà de mettre en place des initiatives pour innover en matière de produits et services respectant le climat, tandis que 42% ont intégré le risque climatique dans leur planification financière.

Le chômage gagne davantage du terrain (Al Bayane)

La proportion des chômeurs primo-demandeurs d’emploi au Maroc s’est établie à 51,2% en 2023, ressort-il de la récente note d’information du Haut-Commissariat au Plan (HCP) relative aux principales caractéristiques de la population active et ses composantes. “En 2023, la majorité des chômeurs (82,3%) résident en milieu urbain, et parmi eux, 75,7% ont moins de 35 ans. De plus, 82,6% des chômeurs sont diplômés et 31,1% sont des femmes. Près de la moitié des chômeurs (51,2%) sont des primo- demandeurs d’emploi, et un pourcentage élevé (66%) sont au chômage depuis une année et plus”, précise le HCP dans sa note. Après avoir baissé de 12,3% à 11,8% entre 2021 et 2022, le taux de chômage est remonté à 13% en 2023, ce qui représente une augmentation de 1,2 point par rapport à 2022, rappelle la même source.

Ports situés sur la Méditerranée: Hausse de 13% des débarquements de pêche à fin février (Libération)

Les débarquements de la pêche côtière et artisanale au niveau des ports situés sur la Méditerranée ont atteint 3.216 tonnes (T) à fin février dernier, en hausse de 13% par rapport à la même période de l’année précédente, selon l’Office national des pêches (ONP). En valeur, ces débarquements sont en progression de 37% à environ 158,79 millions de dirhams (MDH) à fin février 2024, par rapport à la même période une année auparavant (115,57 MDH), a précisé l’ONP dans son dernier rapport sur les statistiques de la pêche côtière et artisanale au Maroc. Par espèce, les quantités de poissons pélagiques débarquées dans ces ports, situés sur la côte de Tanger à Saidia, ont reculé de 24% au cours des deux premiers mois de 2024 à 777 T, pour une valeur estimée à plus de 10,77 MDH (-18%), contre environ 13,21 MDH/ 1.020 tonnes à fin février 2023.

Aïd Al-Adha 1445 : lancement de l’opération d’identification des ovins et des caprins (Assahra almaghribia)

L’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires (ONSSA) a annoncé ce mardi le lancement de l’opération d’identification des ovins et des caprins destinés à Aïd Al-Adha 1445 (2024) sur l’ensemble du territoire national. Lancée sous l’égide du Ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime du Développement Rural et des Eaux et Forêts et réalisée gratuitement au profit de tous les éleveurs engraisseurs, cette opération tenue en partenariat avec l’Association nationale ovine et caprine (ANOC), consiste en la pose sur l’une des oreilles de l’animal, d’une boucle de couleur jaune qui porte un numéro de série unique à chaque animal portant la mention “عيد الاضحى”, indique l’ONSSA dans un communiqué. Cette identification permet aux citoyens d’acquérir des animaux tracés, facilitant ainsi leur suivi en cas de besoin, souligne la même source.

Aéroports du Maroc : hausse du trafic passagers de 17% à fin février 2024 (Al Ittihad alichtiraki)

Les aéroports du Maroc ont enregistré un volume de trafic commercial de 4.551.240 passagers durant les deux premiers mois de 2024, en croissance de 17% par rapport à la même période un an auparavant, selon l’Office national des aéroports (ONDA). Pour le seul mois de février 2024, ce trafic a affiché une forte hausse de 19% pour s’établir à 2.266.620 passagers, indique l’ONDA dans un communiqué, précisant que l’aéroport Mohammed V, représentant 33% du trafic global, a accueilli 747.985 passagers, soit une progression de 12% par rapport à février 2023.

Arrestation d’un chauffeur soupçonné de mettre en danger de la vie des usagers de la route (Al Massae)

Les éléments de la préfecture de police d’Agadir ont réussi à interpeller un individu âgé de 31 ans, soupçonné d’avoir causé des blessures aux usagers de la route et de mettre en danger leur vie. Une source sécuritaire a expliqué que le suspect avait eu une altercation avec un autre usager de la route, suite à un accident entre eux. En tentant de prendre la fuite, le mis en cause avait heurté un groupe de piétons. Ces actes criminels avaient fait l’objet d’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Les enquêtes et investigations menées à la lumière de cette vidéo ont permis d’identifier le suspect et de l’arrêter, tandis que le véhicule utilisé dans ces actes a été déposé à la fourrière, selon la même source.

Le projet de loi modifiant le Code de procédure pénale concernant les hauts responsables dévoilé (Assabah)

Le Secrétariat général du gouvernement a dévoilé la nouvelle mouture du projet de loi modifiant et complétant le Code de procédure pénale après l’avoir étudié, révisé et examiné minutieusement pendant six mois. Ce texte prévoit des dispositions sur la procédure à suivre pour les procès des hauts responsables. Interrogé sur ce sujet, le ministre de la Justice a refusé de donner une réponse sur ce texte après son dépôt au secrétariat général, qui constitue le gendarme de la législation. La première version du projet du code de procédure pénale prévoit des dispositions visant à éviter les coutumes précédentes qui fixent une procédure spéciale pour juger les hauts responsables. Cette procédure entre dans les règles de compétence exceptionnelle. Le procès concerne le chef du gouvernement, le président de la Cour constitutionnelle, le président délégué du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ), les ministres, les présidents du Parlement, les walis et les gouverneurs.

La réglementation de TikTok au Maroc (Al Akhbar)

El Mehdi Fatimi, député USFP, a appelé à la réglementation de l’application de TikTok au Maroc après la propagation accrue des contenus portant atteinte aux valeurs marocaines sur fond de participation de jeunes et adolescents dans des vidéos indignes ou violentes. Fatimi a souligné dans une question écrite adressée au ministre de la jeunesse, de la culture et de la communication que plusieurs applications qui veulent attirer le plus large public, sont marquées par des comportements et pratiques punis par les lois en vigueur mais échappent au contrôle.

La Première récolte de la culture de cannabis légal s’élève 294 tonnes (AL Ahdath almaghribia)

La première récolte de la culture de cannabis légal au Maroc a atteint 294 tonnes en 2023, selon l’Agence nationale de régulation des activités liées au cannabis (ANRAC). La première récolte de Cannabis légal au Maroc, destiné à des fins médicales et industrielles, a été réalisée par 32 coopératives regroupant 430 agriculteurs couvrant 277 hectares dans les régions montagneuses du nord du Rif, à Al Houceima, Taounat et Chefchaouen. Cette année, l’Agence examine les demandes de 1.500 agriculteurs qui se sont organisés en 130 coopératives. La culture de la variété locale résistante à la sécheresse, connue sous le nom de “Beldia”, a commencé ce mois-ci.

Les syndicats se retirent d’une réunion avec le ministère de l’emploi (Al ALAM)

Le secrétaire général de la fédération nationale du travail, affilié à l’UGTM, Abdellah Hssain, a souligné que les centrales syndicales se sont retirées d’une rencontre sur le dialogue social convoquée mardi par le ministère de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise de l’Emploi et des Compétences et ce, en raison de l’absence d’une offre sociale financière satisfaisant les dossiers revendicatifs remis sur la table de négociations par les syndicats. Hssain a appelé le gouvernement à travers le ministère de tutelle à interagir favorablement avec les revendications des syndicats selon une approche basée sur la négociation collective et le dialogue social conformément aux dispositions de la Constitution.

Royal Air Maroc : Trois nouvelles lignes directes de Casablanca à Manchester, Naples et Abuja à partir de juin 2024 (Bayane Al Yaoum)

Royal Air Maroc (RAM) a annoncé le lancement, dans le cadre du plan de renforcement de son réseau et en préparation de la saison estivale, de lignes aériennes à partir de son hub de Casablanca vers Naples, Manchester et Abuja, à compter du 22 juin 2024. Le président directeur général de RAM, Hamid Addou, a déclaré que le lancement de ces trois nouvelles lignes s’inscrit “dans le cadre de notre plan de développement visant l’ouverture de routes aériennes au niveau de plusieurs marchés prometteurs”, notant qu’il s’agit également de “répondre à la forte demande au niveau de certains pays où une forte communauté marocaine est établie”.

Maroc-AFD : un financement de 134,7 M€ en faveur du programme d’appui à la feuille de route pour la réforme du système de l’éducation nationale 2022-2026 (Rissalat Al Oumma)

Le Maroc, représenté par le ministre délégué auprès de la ministre de l’Economie et des finances, chargé du Budget, Fouzi Lekjaa, et l’Agence française de développement (AFD), représentée par l’ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier et la Directrice de l’AFD à Rabat, Quiterie Pincent, ont signé, lundi à Rabat, une convention de financement et un protocole de crédit d’un total de 134,7 millions d’euros (M€) pour le financement du programme d’appui à la feuille de route pour la réforme du système de l’éducation nationale 2022-2026. Signés en présence du ministre de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, ce protocole de crédit et cette convention portent respectivement sur un financement budgétaire de politique publique de 130 M€ et une subvention de 4,7 M€ pour mobiliser des appuis techniques et accompagner la mise en œuvre des réformes et dispositifs pilotes prévus au titre de la Feuille de Route.


 MAP  20 Mars 2024