Les dernières informations de la presse nationale de ce mardi 25/06/2024:

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 Entrepreneur-investisseur: “Le Maroc a toutes les chances d’être exportateur de startups” (Les Inspirations éco)

Plusieurs ingrédients manquent à l’écosystème startup marocain pour qu’il produise davantage de licornes. Au Maroc, la taille du marché ne compte pas suffisamment de consommateurs finaux que d’autres pays. De surcroît, il n’est pas encore suffisamment homogène en termes de typologie de clients et de consommateurs, notamment lorsqu’il s’agit d’un marché B to C, estime Réda Berrehili, entrepreneur-investisseur. Aussi, les canaux de distribution sont totalement fragmentés et il est très difficile de s’adresser au client final, a-t-il dit. “Trois éléments manquent à l’écosystème. Il s’agit d’un marché profond, d’un marché structuré et des talents inhérents”, a-t-il résumé dans un entretien accordé au journal. Quoi qu’au niveau de l’infrastructure, la fintech peut contribuer à toucher des cibles, mais le Maroc n’est toujours pas au point sur ce créneau. “Ainsi, il est difficile de considérer le Royaume comme étant un pays créateur de startups locales. En revanche, il pourrait se positionner en tant qu’exportateur de startups”, a-t-il ajouté.

Reporting extra-financier: le Maroc toujours à la traîne (Les Inspirations éco)

Tandis que la France et la Tunisie s’alignent sur les standards mondiaux de reporting intégré, le Maroc accuse un sérieux retard, incapable pour l’heure de dompter les résistances culturelles de ses entreprises familiales. En comparaison avec la France et la Tunisie, le Maroc est à la traîne en matière de reporting extra-financier. Dans une récente publication, la Commission des études fiscales et juridiques du Conseil régional de l’ordre des experts-comptables de Casablanca souligne que «le rapport ESG au Maroc présente encore des insuffisances comparées aux standards internationaux de reporting intégré adoptés en France. Le contenu du rapport ESG est précisé par la circulaire, couvrant des critères généraux, environnementaux, sociaux, de gouvernance, d’implication des parties prenantes et de démarche RSE. Cependant, les rapports publiés à ce jour présentent des limites, notamment en termes de fiabilité, de méthodologie et d’harmonisation avec les standards internationaux», déplore la commission.

Risque pays: Le Maroc maintient sa note B au baromètre Coface (Les Inspirations éco)

Coface vient de publier son baromètre habituel des risques pays et sectoriels au titre du second trimestre de l’année 2024. Dans un contexte économique où l’assureur-crédit entrevoit des perspectives positives à court terme uniquement pour la conjoncture internationale, la mise à jour de la carte d’évaluation des risques porte sur 163 pays et 26 secteurs d’activité. Dans ce baromètre, le Maroc a maintenu sa note «B» en termes d’évaluation des risques pays, et «A4» en matière d’évaluation du climat des affaires. En examinant la situation du Royaume par rapport aux autres pays du continent africain, force est de constater que le Maroc se place parmi les sept pays dont le risque est «assez élevé» aux côtés du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Bénin, de la Namibie, de la Tanzanie et du Rwanda. Cette évaluation est faite sur la base de données macroéconomiques, financières et politiques.

 Care economy: Aawatif Hayar livre sa vision (L’Opinion)

Le premier Congrès international sur l’Économie des soins (Care Economy) se tient à Rabat les 25 et 26 juin, réunissant des participants nationaux et internationaux. Cet événement vise à faire de l’économie des soins et de la protection sociale un pilier pour l’autonomisation des femmes, la création d’emplois, le bien-être et la résilience familiale. Initiatrice du congrès, la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille Aawatif Hayar détaille sa vision dans ce domaine, visant à transformer les activités de soins, souvent informelles et non rémunérées, en emplois formels et rémunérés, notamment pour les femmes. L’Économie des soins permettra de réduire la précarité, d’offrir des emplois décents et de répondre aux besoins des personnes vulnérables. L’investissement dans ce secteur contribue aussi aux objectifs de développement durable, favorisant la santé, l’égalité des sexes, l’éducation de qualité et la croissance économique.


Port du voile dans les lycées étrangers au Maroc: la justice marocaine assoit sa souveraineté face à la réglementation française (L’Opinion)

Le tribunal de première instance de Marrakech a tranché en faveur d’une élève marocaine interdite d’entrée au Lycée Victor Hugo à cause du port du voile. Une décision jugée discriminatoire contre laquelle s’est insurgée la famille de la lycéenne qui se voit désormais autorisée à regagner les bancs de son établissement par la force de la loi. Il s’agit d’une avancée majeure dans la jurisprudence nationale, confrontée à une affaire d’une complexité inédite. Vivement commentée sur les réseaux sociaux, cette décision judiciaire tranche ainsi le débat sur l’intersection entre la législation marocaine et la loi française dont sont inspirés les règlements des établissements relevant de la Mission française.

Transfert d’activités: 360 entreprises espagnoles de production s’installent au Maroc (L’Opinion)

Dans un mouvement significatif et révélateur des tensions économiques actuelles en Europe, plus de 360 entreprises espagnoles ont pris la décision audacieuse de transférer leurs activités de production au Maroc. Ce transfert massif survient alors que ces sociétés cherchent à échapper aux politiques fiscales restrictives imposées par l’Union Européenne, lesquelles entravent leur croissance et leur compétitivité sur le marché global. Ainsi, en s’appuyant sur des données de l’Institut espagnol du commerce extérieur (ICEX), il apparaît que ce phénomène concerne divers secteurs, mais est particulièrement prononcé dans l’industrie alimentaire. Dans cette optique, environ 10 % des entreprises ont relocalisé leurs activités et qui appartiennent à ce secteur clé, incluant des géants tels qu’Ebro Foods, connue pour ses marques emblématiques Brillante et SOS, et Borges, réputée pour ses fruits secs. Le choix du Maroc comme destination privilégiée pour ces entreprises n’est pas le fruit du hasard. En effet, le Royaume offre une série d’incitations très attractives pour les investisseurs étranger.

La Banque mondiale approuve un financement de 600 millions de dollars pour l’amélioration de la performance du secteur public au Maroc (Le Matin)

La Banque mondiale vient d’approuver un financement de 600 millions de dollars pour deux programmes visant à renforcer la performance du secteur public, l’amélioration de l’inclusivité et la qualité des services publics au Maroc. Selon un communiqué publié lundi à Washington, le premier programme qui appuie la mise en œuvre de la réforme des établissements et entreprises publics (EEP), d’un montant de 350 millions de dollars, «vise à améliorer la gouvernance, la restructuration, la neutralité concurrentielle et le suivi des performances des EEP». Le financement additionnel de 250 millions de dollars pour le programme «Performance du secteur public marocain» (ENNAJAA) continuera à soutenir les efforts du gouvernement marocain pour améliorer la performance et la transparence, en se concentrant sur la modernisation de l’administration publique, notamment à travers la numérisation et les réformes de la gestion des finances publiques, a ajouté la même source.

Pêche et aquaculture : un centre de recherche scientifique dédié arrive (Le Matin)

L’Institut national de recherche halieutique planche sur un projet de renforcement de ses capacités dans le domaine de la pêche et l’aquaculture. Il projette d’aménager un centre de recherche spécialisé dans la pêche et l’aquaculture sentinelles. La future plateforme viendra renforcer la recherche de proximité et compléter l’effort de recherche aquacole existante, et ce à travers l’accompagnement du développement actuel des activités aquacoles et du processus de transformation des systèmes de pêche vers des pratiques durables.

 Un vent de dynamisme rafraîchit l’économie nationale à fin mai dernier (Le Matin)

Durant les cinq premiers mois de l’année, l’économie nationale a affiché des signes d’amélioration significatifs dans pratiquement l’ensemble des secteurs d’activité, selon la dernière note de conjoncture que vient de publier la Direction des études et des prévisions économiques. Ainsi, dans l’énergie, la production de l’électricité s’est améliorée de 3% à fin avril dernier du fait de la bonne tenue de la production privée. Dans le secteur de la construction, les ventes de ciment continuent de s’accroître affichant un renforcement de 20,4%, contre à peine 3,1% un an auparavant. Dans ce tableau, l’industrie manufacturière consolide sa croissance. L’indice de production du secteur s’est accru de 2% au premier trimestre, après une amélioration de 1,9% un an plus tôt.

Recettes douanières: nouveau record (L’Economiste)

La Douane a achevé l’exercice 2023 avec un bilan satisfaisant. Son directeur général, Abdellatif Amrani, s’est félicité des “réalisations” de l’Administration des douanes et impôts indirects, dont le rapport d’activité 2023 vient d’être dévoilé. Au cours de cet exercice, les recettes douanières ont maintenu leur trend haussier, atteignant 132,6 milliards de DH, en dépit du recul de la valeur des importations de 2,9% par rapport à l’année d’avant. Le DG de la Douane a également mis en avant “la baisse d’une demi-heure du délai de dédouanement à l’import», ainsi que «l’augmentation de 4,7% du nombre des déclarations, dépassant pour la première fois la barre de 1 million”. Dans les détails, “la performance des recettes douanières s’explique principalement par la hausse de celles du droit d’importation et l’évolution de la TIC, notamment sur les tabacs manufacturés”.

Politique monétaire: Bank Al Maghrib devrait opter pour le statu quo (L’Economiste)

La réunion de politique monétaire de Bank Al-Maghrib, prévue aujourd’hui mardi 25 juin, suscite un vif intérêt parmi les acteurs économiques et financiers du Maroc. Parmi les diverses options disponibles, maintenir le taux directeur inchangé à 3% apparaît comme la décision la plus judicieuse. Les analystes, sondés par L’Économiste, anticipent de façon presque unanime le statu quo. Selon eux, cette décision permettra à la banque centrale de continuer à stabiliser l’inflation, de synchroniser sa politique avec les tendances internationales, de répondre aux besoins croissants de liquidités, de préserver la croissance économique. Mais aussi de se donner le temps nécessaire à l’évaluation des mesures prises par le gouvernement sur l’inflation notamment la décompensation partielle du gaz butane.

Feux de forêts: alerte rouge et vigilance maximale (L’Economiste)

L’alerte aux feux de forêts est actuellement à son niveau maximal dans certaines régions du Maroc. La canicule qui sévit dans le pays a aggravé la situation, avec des températures record et une sécheresse exceptionnelle. Les conditions climatiques actuelles, avec de fortes vagues de chaleur, des températures élevées et une faible humidité créent un environnement propice aux incendies. Selon l’Anef (Agence nationale des eaux et forêts), il y a effectivement plusieurs types de risques extrêmes, élevés, moyens dans différentes régions du Maroc. Selon la cartographie des risques, le 24 juin, l’alerte rouge (risque extrême) est localisée dans les provinces de Tanger-Assilah, Fahs Anjra, Nador, Taza, Khénifra, La- rache, Taounate, Berkane, Al Haouz, Essaouira… S’ensuivent des zones à risque élevé (niveau orange) notamment dans les provinces de tétouan, Mdiq-Fnideq, Chefchaouen, Taroudant, Beni Mellal, Khemisset, Taourirt ou encore Oujda Angad.

Port d’Al Hoceima: Légère hausse des débarquements de pêche à fin mai (Al Bayane)

Les débarquements de la pêche côtière et artisanale au niveau du port d’Al Hoceima ont atteint 1.226 tonnes (T) à fin mai 2024, en hausse de 5% par rapport à la même période de l’année précédente, selon l’Office national des pêches (ONP). La valeur marchande de ces captures a progressé de 10% à plus de 73,54 millions de dirhams (MDH), contre environ 67,04 MDH à fin mai 2023, a précisé l’ONP dans son dernier rapport sur les statistiques sur la pêche côtière et artisanale au Maroc.

Collectivités territoriales : un excédent global de 7,4 MMDH à fin mai (Libération)

L’exécution des budgets des collectivités territoriales fait ressortir un excédent global de 7,4 milliards de dirhams (MMDH) à fin mai, contre un excédent global de 3,3 MMDH enregistré un an auparavant, selon la Trésorerie générale du Royaume (TGR). Ce résultat tient compte d’un solde positif de 1,01 MMDH dégagé par les comptes spéciaux et les budgets annexes, précise la TGR dans son récent Bulletin mensuel de statistiques des finances locales, notant que cet excédent global est destiné à couvrir les dépenses engagées et devant être payées au cours de l’année 2024.

L’économie nationale face aux chocs (Alahdath almaghribia)

Le ministre délégué auprès de la ministre de l’Économie et des Finances, chargé du budget, a évoqué, de manière réaliste, ce à quoi l’économie marocaine était confrontée, affirmant que « l’économie nationale fait face à un climat international ambigu et instable, et à une situation nationale marquée par plusieurs chocs successifs de nature endogène et exogène, comme la succession des années de sécheresse et le séisme d’Al Haouz ». Le responsable a justifié, dans une réponse à une question parlementaire écrite, le recours par le Maroc aux emprunts intérieurs et extérieurs, en soulignant que ce recours reste lié aux besoins de financements et au déficit budgétaire. Il a souligné, à cette occasion, que « le gouvernement œuvre à dégager des marges financières pour assurer l’achèvement des projets de développement et de réforme, dont principalement ceux lancés par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, comme la réforme du système de protection sociale et le soutien à la reprise économique, en parallèle avec la mise en œuvre du nouveau modèle de développement, tout en veillant à préserver les équilibres macroéconomiques.

Une « nouvelle profession » suscite l’ire des avocats contre le ministère de Justice (Al Akhbar)

L’annonce par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, de sa volonté de créer une nouvelle profession libérale d'”intermédiaires” pour assister la justice a suscité la colère parmi les avocats, qui estiment que cette nouvelle profession vise à limiter leurs prérogatives. Au sujet du croisement de cette nouvelle profession avec d’autres disciplines comme la profession d’avocat, le ministre a souligné qu’il consulterait toutes les professions juridiques pour déterminer les prérogatives de cette nouvelle profession, ce qui a provoqué une vague de colère parmi les blouses noires. Une source auprès de l’Ordre des avocats de Rabat a affirmé que le ministre de la Justice « insiste à restreindre les avocats tous azimuts », critiquant « la limitation des prérogatives de l’avocat dans le cadre du projet de loi relatif à la procédure civile, notamment avec la mise en place du principe de mandataire qui, en vertu d’un mandat, aura le droit de représenter les parties au litige aux côtés de l’avocat, ainsi que l’octroi aux huissiers de justice du droit de recouvrer les créances au lieu de leur mission préalable de notification et d’exécution ».

Sur Très Hautes Instructions Royales, déploiement d’une opération humanitaire d’aide médicale destinée à la population de Gaza (Assahra almaghribia)

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Président du Comité Al Qods, a donné Ses Très Hautes Instructions pour déployer une opération humanitaire d’aide médicale, destinée à la population palestinienne de Gaza, indique le ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Cette aide ordonnée par Sa Majesté le Roi est composée de 40 tonnes de produits médicaux contenant, notamment, des dispositifs pour la prise en charge des brûlures, et des urgences chirurgicales et traumatologiques, ainsi que des médicaments de première nécessité, souligne le ministère dans un communiqué, ajoutant que ces produits médicaux concernent aussi bien les adultes que les enfants en bas âge.

Lutte contre la corruption: 32 parlementaires poursuivis (Assabah)

La liste des parlementaires poursuivis pour des crimes de corruption et de fraude dans les marchés publics, dilapidation de deniers publics, extorsion, détournement de fonds et falsification de documents s’est allongée à 32, issus des groupes de majorité et d’opposition. Selon des sources du quotidien, ces parlementaires sont poursuivis pour mauvaise gestion en leur qualité de présidents de conseils territoriaux, ce qui nécessite des dirigeants des partis politiques de réviser les lois organiques d’élection des membres des deux Chambres du Parlement et des conseils territoriaux, entre régions, préfectures, provinces, communes et conseils d’arrondissements en mettant fin au cumul des tâches en matière de gestion locale et nationale. Les propriétés de certains parlementaires poursuivis ont été gelés, en attendant les jugements définitifs de leurs affaires devant les différents tribunaux, avec l’interdiction de quitter le territoire national, selon les mêmes sources.

Hayar : Le gouvernement a alloué 25 milliards de dirhams pour l’aide sociale directe et 10 milliards de dirhams annuels pour la couverture médicale (Al Alam)

La ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Aawatif Hayar, a affirmé que le gouvernement a alloué, dans le cadre du budget général de 2024, une enveloppe de 25 milliards de dirhams pour l’aide sociale directe, ainsi que 10 milliards de dirhams pour la couverture médicale au profit des catégories défavorisés en raison de leur incapacité à payer leurs cotisations au sein de la Caisse nationale de sécurité sociale. La ministre a indiqué, dans un entretien livré au quotidien, que « le but du système de protection sociale est de réaliser une approche qualitative et innovante, sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, nécessitant de couper court à l’approche caritative et d’aller vers une approche d’inclusion sociale ». Elle a rappelé, dans ce sens, que son département a élaboré une stratégie comprenant une série de programmes à dimension sociale, dont la stratégie « Gissr » pour l’autonomisation et le leadership, avec plus de 480.000 femmes enregistrées dans les différentes régions du Royaume, dont une grande partie a été orientée vers le domaine de l’économie des soins.

Pavillon Bleu 2024 : 27 plages, un lac de montagne et quatre ports de plaisance labellisés (Al Ittihad alichtiraki)

Le label international Pavillon Bleu, attribué annuellement par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, présidée par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, flottera sur 27 plages, quatre ports de plaisance et, pour la première fois au Maroc, sur un lac de montagne durant la saison estivale 2024. Avec 32 sites labellisés au total, le Maroc se classe 18e parmi les 43 pays de l’Hémisphère Nord pour le nombre de sites labellisés Pavillon Bleu, un écolabel exigeant créé par la Fondation pour l’Éducation à l’Environnement et introduit au Maroc en 2002 par la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, et est le pays arabe comptant le plus de Pavillons bleus et le deuxième en Afrique.

Rabat : convention de partenariat pour renforcer la participation citoyenne des jeunes (Bayane Al Yaoum)

Une convention de partenariat visant le renforcement de la participation citoyenne des jeunes a été signée entre le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication et le Conseil économique, social et environnemental (CESE). Signée par le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, et le président du CESE, Ahmed Reda Chami, cette convention vise à établir un cadre d’action entre les deux parties favorisant le partage d’expertises, chacun dans son champ de compétences, pour la réalisation des objectifs d’intérêt commun.

Casablanca : Dar America organise son premier salon de l’emploi pour les enseignants anglophones (Rissalat Al Oumma)

Le centre culturel Dar America relevant du consulat général des Etats-Unis à Casablanca, a organisé un salon de l’emploi pour les éducateurs anglophones. L’événement a vu la participation de nombreux enseignants qui utilisent l’anglais comme langue d’enseignement dans diverses matières, notamment l’apprentissage des langues et les STEM (science, technologie, ingénierie et mathématiques). Les participants ont rencontré à cette occasion les représentants de 15 institutions, dont des écoles privées, des universités et des centres de langues.

 MAP  25 Juin 2024