Les dernières informations de la presse nationale de ce mardi 28/05/2024:

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 Les dernières informations de la presse nationale de ce mardi 28/05/2024:

 Tourisme: les parlementaires se greffent sur le dossier (L’Economiste)

LA Commission thématique parlementaire chargée de l’évaluation de la politique publique en matière de tourisme accélère le rythme de travail. Elle a tenu dernièrement une réunion avec les professionnels, les établissements publics, qui travaillent dans ce domaine. Ce mercredi, la Commission se penchera sur le transport lié au tourisme. Tout au long de ce travail, plusieurs professionnels ont soulevé le problème de la responsabilité de l’aérien. D’autres ont pointé le déficit criant du transport maritime, particulièrement depuis la disparition des compagnies marocaines de navigation. Il s’en est suivi une flambée des prix des billets de la traversée par bateau. Ils ont également fait le constat que les bateaux de croisière n’accostent plus dans les ports des villes marocaines. Pourtant, cette niche rapportait beaucoup aux villes qui voyaient débarquer jusqu’à 2.000 touristes pour passer deux jours en ville.

*C’est parti pour l’université marocaine 4.0 (L’Economiste)

Coup d’accélérateur en vue dans la mise en œuvre du Pacte ESRI 2030! Le programme Université marocaine 4.0, élaboré pour réaliser certaines des orientations du PACTE, va bientôt démarrer. La BAD a, en effet, déjà donné son accord de financement pour la réalisation des projets retenus pour atteindre l’excellence académique et scientifique. Il s’agit d’un prêt de 120 millions d’euros, qui sera progressivement débloqué pendant les cinq années de mise en œuvre du programme Université marocaine 4.0. Lequel vise trois grands objectifs: l’amélioration de l’offre et de l’environnement de formation, la digitalisation d’une université marocaine innovante et la promotion de l’excellence, de l’entrepreneuriat et de l’employabilité.

*Prélèvements sur les aides, éligibilité des ménages, délais d’attente… les explications de Lekjaa (L’Opinion)

Les prélèvements sur montants reçus dans le cadre des aides directes octroyées aux ménages continuent de susciter le débat au sein du Parlement. Interpellé par les groupes de l’opposition à la Chambre des Représentants, Fouzi Lekjaa, ministre délégué auprès de la ministre de l’Economie et des Finances, chargé du Budget, a expliqué que les sommes déduites – dont la valeur varie entre 8 et 24 dirhams selon la valeur de l’aide octroyée- sont les frais de tout le processus bancaire par lequel passe le montant versé aux ménages. Le gouvernement a mis en place une offre bancaire spéciale pour ce projet avec un compte ne dépassant pas 5 dirhams par mois, toutes taxes comprises. Le mécanisme mis en place par l’Exécutif vise, selon le ministre, à fluidifier les différentes opérations de soutien de A à Z.


  Le Maroc dans le top 4 africain, malgré une baisse mondiale (L’Opinion)

Malgré une baisse significative des prix du carburant au niveau mondial, ces derniers temps, ces tarifs restent parmi les plus élevés au Maroc, une situation qui soulève de nombreuses questions et critiques. Alors que les consommateurs mondiaux bénéficient de la diminution des coûts, les Marocains continuent de payer cher leur carburant, faisant du Royaume l’un des pays africains où les prix sont les plus élevés. Selon les révisions du site Global Petrol Prices », spécialisé dans le suivi des prix du carburant à l’échelle mondiale, le Maroc se classe actuellement au quatrième rang parmi les pays africains où les prix du carburant sont les plus élevés. En date du 20 mai, le prix du litre de carburant au Maroc est de 1,54 dollar, juste après la Centrafrique, le Sénégal, les Seychelles et le Zimbabwe.

*Santé: la Coordination nationale dévoile un calendrier chargé (L’Opinion)

C’est un sentiment de ras-le-bol général qui monte dans une profession qui se sentait délaissée, et qui lance un appel aux grèves. Ce qui aurait des répercussions non négligeables sur l’accès aux soins. A cet effet, plusieurs manifestations sont prévues, pendant les semaines à venir, pour tenter de faire réagir le gouvernement. Dans un communiqué, publié dimanche 26 mai, la Coordination syndicale nationale du secteur de la Santé annonce l’organisation de grèves, de rassemblements régionaux et locaux ainsi qu’une marche nationale. A compter de ce mardi, selon la corporation, les établissements de santé du Royaume connaîtront des grèves de trois jours par semaine. Ces débrayages débuteront de manière échelonnée le 28 mai et se poursuivront jusqu’au 27 juin prochain.

*Fiscalité: Les nouveaux “casques bleus” du Maroc (Les Inspirations éco)

Si le Maroc est connu pour être un gros pourvoyeur en casques bleus pour les missions de l’ONU, il exporte aussi son savoir-faire en matière fiscale, dans le cadre de l’Initiative «Inspecteurs des impôts sans frontières (IISF)», lancée par le PNUD et l’OCDE. D’ailleurs en ce moment, un groupe d’inspecteurs des impôts se trouve au Sri Lanka pour une mission de renforcement des capacités de l’administration des impôts de ce pays, révèle une source à la DGI. Ils interviennent sur les techniques de contrôle fiscal, des prix de transfert et des accords préalables sur les prix de transfert (APP). Cette assistance technique est fondée sur «l’apprentissage par la pratique», la fameuse méthode dite «learning by doing». Les équipes de la DGI, sélectionnées au terme d’un processus de mise en concurrence, participent sans discontinuer à ce programme depuis six ans.

La hausse de l’emploi rémunéré ne comble pas la montée du chômage (Les Inspirations éco)

S’il y a une véritable problématique à laquelle est confrontée l’économie marocaine, c’est bien évidemment sa capacité à créer de l’emploi pour endiguer le chômage. Le dernier rapport de conjoncture de la Direction des études et des prévisions financières (DEPF), qui a brossé un panorama de l’économie marocaine au titre du mois de mars 2024, a mis en évidence ce défi persistant. Dans ce sens, le marché de l’emploi continue de pâtir des incidences du stress hydrique. En relation avec le marché du travail, le volume de l’emploi s’est replié de 80.000 postes au terme du premier trimestre. Néanmoins, le volume de l’emploi rémunéré a progressé de 75.000 nouveaux postes. Quant à l’emploi non rémunéré, il s’est contracté de 154.000 postes. Toutefois, il est à noter que malgré cette évolution négative, la part de l’emploi rémunéré dans l’emploi total continue de s’améliorer pour atteindre 90,1% au premier trimestre 2024, après 88,7% un an plus tôt.

*Souveraineté : comment le Maroc peut échapper à la “colonisation numérique” (Le Matin)

L’Institut marocain d’intelligence stratégique vient de publier un rapport déclinant une stratégie ambitieuse pour que le Maroc conquière sa souveraineté numérique. L’Institut marocain propose une stratégie détaillée en 5 axes pour permettre au Royaume de “conquérir progressivement une autonomie en matière de numérique”. Le premier axe recommande la mise en place d’une gouvernance renouvelée, associant tous les acteurs publics et privés dans un cadre rénové. Le 2e appelle à identifier et soutenir financièrement les startups technologiques à fort potentiel pour en faire les futurs champions du pavillon marocain. Le 3e axe recommande de muscler le cadre législatif et réglementaire de ce secteur stratégique. Le 4e vise à auditer et sécuriser en permanence les infrastructures et systèmes d’information critiques dans une logique de “zone de défense des actifs numériques souverains”, alors que le 5e axe ambitionne de mettre en cohérence toutes les initiatives du Royaume sous l’égide de la stratégie numérique nationale Maroc Digital 2030.

*La stratégie d’Aradei Capital pour devenir une foncière de référence sur le marché marocain (Le Matin)

Aradei Capital aiguise son appétit pour l’immobilier locatif. La foncière ambitionne de devenir une référence sur ce segment. Dans son plan de développement, la société confirme sa volonté de se positionner en tant qu’investisseur d’OPCI, une activité qui constitue à ses yeux un relais indéniable pour débrider sa croissance. La société envisage ainsi de capitaliser sur l’émergence de ces véhicules au Maroc à travers la création d’une filiale qui serait entièrement dédiée à cette catégorie de véhicules. Cet axe de croissance s’inscrit dans la stratégie de la foncière d’offrir un rendement stable à ses actionnaires à travers un portefeuille d’actifs immobiliers locatifs diversifiés. La foncière, qui vient de décrocher le visa de l’AMMC pour une augmentation de capital (500 millions de DH), prévoit de mettre sur les rails un programme d’investissements d’un peu plus de 1 milliard de DH sur la période 2024-2026. Cette enveloppe ira ainsi au développement d’un portefeuille largement diversifié d’actifs immobiliers à l’échelle nationale.

Industrie automobile : le Maroc est le marché le plus attractif de la région MENA (Le Matin)

Le Maroc se distingue comme le marché le plus attractif pour l’industrie automobile dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, selon le dernier indice de risques et de récompenses de BMI-Fitch Solutions. Avec une meilleure note, le Maroc surpasse ses voisins grâce à sa localisation stratégique, sa stabilité politique et son infrastructure industrielle bien développée. Ce positionnement prometteur est renforcé par un environnement d’investissement favorable et une industrie des véhicules électriques en plein essor.

*Le Maroc participe à la 77e Assemblée mondiale de la santé (Libération)

Le Royaume prend part aux travaux de la 77è Assemblée mondiale de la santé, qui ont débuté lundi à Genève sous le thème “un monde mobilisé pour la santé, la santé pour tout le monde”. La délégation marocaine à cette assemblée, qui se poursuit jusqu’au 1er juin, est conduite par le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khalid Ait Taleb. L’Assemblée mondiale de la Santé, qui est l’organe décisionnel de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), offre une tribune importante pour combattre les maladies comme le VIH, la rougeole et la poliomyélite, dans le contexte des urgences climatiques et de l’augmentation des cas de maladies telles que l’hypertension et l’obésité.

*Arrivée à Médine du premier vol de pèlerins marocains bénéficiaires de l’initiative “Route de la Mecque” (Al Bayane)

Le premier groupe de pèlerins marocains bénéficiaires de l’initiative “Route de la Mecque” est arrivé à l’aéroport international Prince Mohammad Bin Abdulaziz de Médine afin d’accomplir les rituels du pèlerinage au titre de l’année 1445 de l’hégire. Dès leur arrivée à Médine en provenance du salon de l’initiative installé au niveau de l’aéroport international Mohammed V de Casablanca, les pèlerins marocains ont pu bénéficier des procédures mises en place par les autorités saoudiennes en vue de leur faciliter le périple, depuis l’étape de l’enregistrement jusqu’à celle d’orientation vers les autobus qui les conduiront à leurs résidences à Médine, alors que les autorités en charge de logistique achemineront les bagages à leurs résidences, indiquent des médias locaux.

La crise des cafés fait son entrée au Parlement (Al Ahdath almaghribia)

Le Conseil de la concurrence est parvenu à contenir le mouvement souhaité par certains propriétaires de cafés, visant à augmenter les prix des boissons. Dans une déclaration au quotidien, Noureddine El Harrak, président de l’Association nationale des propriétaires de cafés et de restaurants du Maroc (ANPCRM), a indiqué que les propriétaires de cafés et de restaurants sont contre “toute initiative qui va à l’encontre des lois en vigueur” et a dénoncé “l’attitude de ceux qui auraient conclu une entente sur les prix qu’ils pratiquent sur leurs consommations”. Il a toutefois noté que les cafés vivent une crise structurelle étouffante dont l’intensité s’est accrue depuis la pandémie du Covid 19, subissant de surcroit et depuis trois mois une hausse inédite des prix, notamment celui du café, sur le marché national. Le bureau de l’ANPCRM a également partagé avec le Conseil de la concurrence, qui est une institution consultée par le Parlement et le gouvernement, les grandes lignes d’un projet de loi organique du secteur, dans le but d’œuvrer de concert pour son élaboration et son dépôt au Parlement dans les plus brefs délais, afin de remédier à la situation chaotique que vit le secteur.


*Le remaniement ministériel avant le PLF 2025 (Assabah)

Selon des indiscrétions provenant de l’entourage des dirigeants de la majorité gouvernementale, un remaniement ministériel serait attendu avant la tenue du conseil des ministres, qui devrait avoir lieu entre juin et juillet, afin de fixer les orientations stratégiques du projet de loi de finances 2025. Les sources du quotidien ont indiqué que l’annonce du remaniement ministériel devrait intervenir avant la note de cadrage du Chef du gouvernement, adressée à l’ensemble des départements ministériels, fixant les priorités de l’exécutif, dont les priorités budgétaires avant le dépôt du projet de loi, excluant que le PLF 2025 soit élaboré avec des responsables gouvernementaux sur le départ, ce qui compliquerait la tâche des nouveaux ministres, contraints de suivre un budget qu’ils n’auraient pas élaboré. Selon ces sources, le remaniement ministériel portera essentiellement sur le portefeuille de l’Économie et des Finances, où Nadia Fettah serait sur le départ au profit d’un des dirigeants de la coalition gouvernementale, qui serait le secrétaire général du parti de l’Istiqlal, Nizar Baraka.



*La crise des facultés de médecine s’intensifie à l’approche des examens (Al Akhbar)

Le spectre de l’année blanche s’approche de plus en plus, au vu de la saison universitaire dans les facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire au Maroc, à la lumière des efforts entrepris par les doyens desdites facultés afin d’inciter les étudiants à suspendre leur boycott des études et des examens. Selon un membre de la Coordination sectorielle des facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire, la tendance générale des étudiants est « la poursuite du boycott », à l’heure où les parents ont rejoint les protestations aux cotés des étudiants, après l’annonce par le doyen de la faculté de médecine et de pharmacie de Rabat de la suspension de trois étudiants pendant deux ans. Le gouvernement s’accroche, pour sa part, à son refus de “céder aux revendications des étudiants”, dans une position réaffirmée par le ministre du Commerce et de l’Industrie, Riyad Mezzour lors d’une conférence de presse organisée à Salé par la Fondation Lafqui Titouani, où il avait jugé “impossible de prendre une décision hypothéquant l’avenir du Maroc”, commentant le rejet des étudiants de médecine de la décision de réduction des années d’étude de sept à six ans.

Le Maroc dénonce et condamne fermement le raid israélien contre un camp palestinien près de Rafah (Assahra almaghribia)

Le Royaume du Maroc dénonce et condamne fermement le raid mené par l’armée israélienne contre un camp abritant plus de 100.000 déplacés palestiniens près de la ville de Rafah et qui a fait des dizaines de morts et blessés parmi les civils, en flagrante violation du Droit international et du Droit international humanitaire, a indiqué une source responsable au ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger. Le Royaume, dont le Souverain, SM le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, préside le Comité Al Qods, souligne l’importance de se conformer à la décision de la Cour internationale de justice appelant Israël à cesser dans l’immédiat ses opérations militaires à Rafah, tout en réitérant son appel à un cessez-le-feu immédiat et durable, à garantir la protection aux Palestiniens et à assurer l’acheminement sécurisé et sans entraves des aides humanitaires et de secours à large échelle dans la bande de Gaza, via l’ensemble des points de passage, y compris le point de passage de Rafah, a ajouté la même source.


*La présidence du ministère public appelle à la mise en œuvre de la libération conditionnelle (Al Massae)

Le président du ministère public, El Hassan Daki, a affirmé que le mécanisme de libération conditionnelle constitue l’une des meilleures pratiques adoptées par la majorité des systèmes pénaux. Daki, qui intervenait lors d’une conférence du ministère de la Justice, a indiqué que la mise en liberté sous conditions représente un moyen de valoriser, tester et évaluer la conduite des individus libérés, ainsi que le degré de leur imprégnation des programmes de formation et de qualification au sein des établissements pénitentiaires, qui jouent un rôle essentiel dans la prévention de la récidive, outre “le bienfait de la mise en œuvre de la libération conditionnelle, qui est la réduction de la surpopulation carcérale”. Il a souligné, dans ce cadre, que la libération conditionnelle nécessite de s’armer d’audace pour imaginer des solutions pratiques et réalistes d’une mise en œuvre effective, plaçant ce mécanisme comme diffuseur d’espoir parmi les détenus de retrouver leur liberté et d’espérer une intégration exemplaire au sein de la société en tant qu’individus dignes, dès lors qu’ils font preuve d’un bon comportement et d’adhésion aux programmes de réforme et de réhabilitation adoptés par les établissements pénitentiaires.


*Les relations maroco-françaises entrevoient la sortie de crise (Al Alam)

Au vu de l’importance médiatique que suscite la visite prévue du premier ministre français Gabriel Attal au Maroc, les relations bilatérales semblent accéder à une nouvelle étape marquée par un réchauffement diplomatique. Cette visite, prévue du 3 au 5 juillet, comme annoncée par des médias français, représente un prélude à une visite probable du président Emmanuel Macron qui pourrait renforcer les relations entre les deux pays, marquées par des tensions notables ces dernières années. Gabriel Attal rencontrera, lors de sa visite, plusieurs hauts responsables marocains, dont le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch. Ces entretiens représenteront une occasion de discuter des différentes questions d’importance stratégique, allant de la coopération économique à la sécurité régionale.

La ministre sénégalaise des AE exprime son admiration pour le leadership et l’engagement fort de SM le Roi en faveur de la paix, la stabilité et le développement en Afrique (Al Ittihad alichtiraki)

La ministre sénégalaise de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Mme Yassine Fall, a exprimé son admiration pour le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et a rendu un hommage appuyé à la vision africaine du Souverain en matière de paix, de stabilité et de développement socio-économique. Dans le Communiqué conjoint publié lundi à l’issue de ses entretiens avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, la ministre sénégalaise a également salué la dynamique enclenchée dans le cadre du Processus des États Africains Atlantiques pour faire de l’espace africain atlantique un cadre géostratégique de coopération et de concertation intra-africaine, pragmatique et opportune.

*Souveraineté sanitaire: L’OMS salue la Vision Royale (Bayane Al Yaoum)

La directrice régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour la Méditerranée orientale, Hanan Balkhy, a salué, à Genève, la Vision Royale visant à atteindre la souveraineté sanitaire au Maroc. Lors d’une rencontre avec le ministre de la Santé et de la Protection sociale, Khalid Ait Taleb, en marge de la 77e Assemblée mondiale de la santé, Balkhy a salué la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI visant développer le système de santé marocain, ainsi que le soutien apporté par le Souverain aux pays africains pour atteindre la souveraineté sanitaire du continent. Cette vision renforce la coopération régionale et ouvre de nouvelles perspectives pour le développement sanitaire, a souligné la responsable.

*La 19e édition du “Festival Mawazine-Rythmes du Monde” sous le signe de la diversité et de la fête (Rissalat Al Oumma)

Placé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Festival Mawazine Rythmes du Monde s’apprête à vivre sa 19ème édition du 21 au 29 juin prochain, sous le signe de la diversité et de la fête, affirme le président de l’Association Maroc Cultures et du Festival, Abdeslem Ahizoune. “Que de chemin parcouru depuis sa création en 2001 ! L’engagement du Festival à rendre la culture accessible à tous et sa contribution au développement d’une industrie nationale du spectacle sont sans aucun doute ses réussites les plus emblématiques”, souligne M. Ahizoune, dans le mot du président, publié sur le site officiel du festival. Chaque année, ce sont plus de 2,5 millions de festivaliers, dont 90 % qui profitent gratuitement de neuf jours d’une programmation artistique de haut niveau, retransmise dans le monde entier et suivie par des dizaines de millions de téléspectateurs, ajoute-il.



 MAP  28 Mai 2024