Les dernières informations de la presse nationale de ce vendredi 28/06/2024  :

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 Cap hospitality: upgrader les hôtels pour les grands rendez-vous (L’Economiste)

Le Maroc est résolu à figurer en première division des destinations touristiques. Il compte, en effet, bien tirer profit de l’organisation historique des différentes grand-messes du ballon rond (CAN 2025 et Coupe du monde) pour transformer l’essai et hisser le Royaume au niveau des 15 premières destinations mondiales. Pour cela, il ouvre un nouveau chapitre au niveau de sa feuille de route Tourisme 2023-2026 en intégrant la mise à niveau de l’offre hôtelière existante. Celle-ci nécessitant d’être rénovée pour renforcer ses capacités et sa compétitivité et être à la hauteur de ces grands rendez-vous. «Le Maroc cible plus de 26 millions de touristes à l’horizon 2030», a rappelé Fatima Zahra Ammor, ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Economie Solidaire lors de la journée de lancement du programme Cap Hospitality le 26 juin 2024.

Education: le privé interpelle le gouvernement (L’Economiste)


L’un des principaux piliers de la réforme éducative au Maroc est le renforcement de la collaboration entre le secteur public et privé. L’article 44 de la loi cadre 17-51 relative au système d’éducation, de formation et de recherche scientifique le précise clairement. L’idée est que le partenariat entre ces deux secteurs permettra d’améliorer la qualité et l’accès à l’éducation dans tout le pays. «Aujourd’hui, les opérateurs du privé s’adressent au gouvernement pour activer la mise en œuvre de l’article 44 de la loi cadre 17-51», a indiqué Kamal Daissaoui, président de la Fédération de l’enseignement privé affilié à la CGEM, lors d’un du séminaire à Casablanca. “La loi-cadre est là mais les textes d’application ne le sont pas”, a-t-il poursuivi. Les revendications portent exactement sur des textes sur les PPP dans le domaine de l’éducation et non pas ceux relatifs au PPP en général.

Le gouvernement s’accorde plus de temps pour bien préparer la Réforme (L’Opinion)

Le nouveau Code de procédure pénale tarde à voir le jour. Après avoir été programmée à l’ordre du jour du Conseil de gouvernement, l’adoption de la réforme a été reportée. Un scénario qui rappelle celui de la loi relative aux peines alternatives qui a pris plus de temps que prévu. Un report que le gouvernement justifie par la voix de son porte-parole, Mustapha Baitas, par la nécessité de disposer de plus de temps pour examiner l’ensemble du texte porté par Abdellatif Ouahbi qui veut assouplir le système judiciaire et restreindre la détention provisoire. 500 chapitres sont actuellement sous la loupe de l’Exécutif qui s’apprête à faire son arbitrage. Très attendue, la réforme est si complexe qu’elle est censée établir un subtil équilibre entre la défense et l’accusation publique. Un équilibre qui dépend de la qualité rédactionnelle du texte de la réforme pour éviter les zones d’ombre.


La Majorité réaffirme la priorité de la création d’emplois (L’Opinion)

Les partis de la Majorité se sont réunis, mercredi, à Rabat. Le trio gouvernemental s’est dit satisfait de la politique générale du gouvernement et de son bilan de mi-mandat. Toutefois, l’emploi reste un sérieux défi pour l’Exécutif qui peine à inverser la courbe du chômage. Le trio gouvernemental a jugé nécessaire de faire de la lutte contre le chômage une priorité durant le reste du mandat du gouvernement qui s’achève en 2026. Aussi, l’accent est-il mis sur l’application du programme gouvernemental dans son intégralité. Par ailleurs, concernant l’action parlementaire, les trois alliés ont fait part de leur satisfaction de l’harmonie qui règne entre leurs groupes parlementaires qui se manifestent à la fois dans les votes, les dépôts d’amendements et les discussions dans les commissions permanentes, selon leur communiqué final.

L’Allemagne déroule le tapis rouge à Abdellatif Hammouchi (L’Opinion)

Le Directeur Général de la Sûreté Nationale (DGSN) et de la Surveillance du Territoire (DGST), Abdellatif Hammouchi, a effectué une visite de travail, du 24 au 26 juin, à la République Fédérale d’Allemagne, au cours de laquelle il s’est entretenu avec des responsables de la police fédérale allemande (Bundespolizei) et de l’Office fédéral de la police criminelle (BKA), des moyens de renforcement de la coopération bilatérale dans les différents domaines sécuritaires. Au cours de cette visite, survenue à l’invitation officielle de la partie allemande, Hammouchi a tenu des séances de travail avec le président de Bundespolizei, Dieter Romann, le président de BKA, Holger Münch, ainsi que d’autres responsables sécuritaires allemands spécialisés dans la lutte contre le terrorisme et la sécurité sportive, indique le pôle DGSN- DGST dans un communiqué. Les entretiens ont porté plus particulièrement sur les moyens de renforcer la coopération bilatérale, notamment dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière organisée, ainsi que la sécurité des grands évènements sportifs.

Entreprises inactives: le retrait du système fiscal n’est pas une faillite (L’Opinion)

En réaction au grand nombre de déclarations de faillite, le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, a indiqué qu’il ne faut pas s’alarmer, notamment à la lumière de la tendance haussière de création d’entreprises. Selon lui, le nombre de sociétés personnes morales inscrites au registre fiscal est passé d’environ 448.000 à 603.000 entre 2021 et 2024. De même, le nombre d’auto-entrepreneurs est passé de 1,2 million à 1,4 million durant la même période. Dans ce sens, Mustapha Baitas a rappelé que les lois de finances 2023 et 2024 ont instauré des mesures imposant aux sociétés inactives de décider de leur sort, soit en poursuivant leur activité, soit en quittant le système fiscal selon un certain nombre de conditions. Cependant, ce retrait d’un certain nombre d’entreprises inactives du système fiscal ne peut pas être considéré comme faillite, mais une option proposée par les réformes fiscales entreprises par le gouvernement.

Hôtellerie: cap sur la mise à niveau (Les Inspirations éco)

Dans une démarche audacieuse visant à renforcer son industrie touristique, le gouvernement vient de lancer un programme novateur pour la modernisation de son parc hôtelier. Baptisé «Cap Hospitality», ce dispositif unique représente un véritable coup de poing de l’État pour mettre à niveau les établissements d’hébergement touristique du pays. Annoncé mercredi 26 juin 2024 lors d’une cérémonie officielle à Rabat, le programme «Cap Hospitality» s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la feuille de route du tourisme 2023-2026. Cette initiative vise à accélérer la modernisation des Établissements d’Hébergement Touristique Classés (EHTC) avec un objectif cible de 25.000 chambres rénovées. L’impact attendu en termes d’investissement pourrait atteindre jusqu’à 4 milliards de dirhams, témoignant de l’ampleur et de l’importance de ce projet pour le secteur touristique marocain.

Régularité fiscale: une attestation dédiée à la retenue à la source TVA voit le jour (Les Inspirations éco)

La Direction générale des impôts (DGI) vient d’introduire une nouveauté majeure concernant les attestations de régularité fiscale. Désormais, une ligne spécifique a été créée sur le portail SIMPL-attestation pour les attestations liées à la retenue à la source (RAS) en matière de TVA, comme le prévoit l’article 117 du Code général des impôts (CGI). Cette mesure vise à faciliter la gestion des attestations pour les entreprises soumises à cette obligation. Auparavant, ces dernières devaient présenter l’attestation de soumission aux marchés publics, qui ne reflétait pas précisément leur situation vis-à-vis de la RAS sur la TVA. Un manque de transparence préjudiciable aux entreprises comme à l’administration fiscale. Désormais , les entreprises pourront obtenir une attestation dédiée, permettant ainsi une meilleure transparence et un contrôle plus efficace. L’obtention de cette nouvelle attestation devient donc indispensable pour les fournisseurs concernés par la RAS sur la TVA.

Le projet de loi sur les peines alternatives adopté: vers un système judiciaire moderne au Maroc (Le Matin)

Le Maroc vient de franchir une nouvelle étape dans le processus de renforcement de l’État de droit et de protection des droits de l’Homme. Avec l’adoption par la Chambre des représentants, du projet de loi n°43.22 relatif aux peines alternatives, le Royaume a mis à jour son arsenal juridique pour garantir la correspondance entre les délits commis et les sanctions prononcées. En vigueur dans plusieurs pays du monde, les peines alternatives ont prouvé leur efficacité. Il faudra bien sûr attendre quelque temps après leur application au Maroc pour commencer à voir les premiers résultats. Toutefois, avec l’adoption du texte de loi, la voie semble ouverte pour aller vers un système judiciaire moderne. En revanche, une peine alternative ne peut être prononcée que dans les affaires où la peine de prison prononcée ne dépasse pas 5 ans ferme. Pour ce qui est du placement sous surveillance électronique, la loi indique que cette mesure consiste à libérer le condamné tout en le soumettant à un certain nombre d’obligations.

Domaine privé de l’État : Plus de 13.400 hectares mobilisés au profit des investisseurs privés en 2023 (Le Matin)

L’État a mobilisé quelque 13.438 hectares de sa réserve foncière au profit des investisseurs privés en 2023. Cette superficie devra ainsi accueillir pas moins de 466 projets. Ces derniers devront mobiliser 37,8 milliards de DH d’investissement et générer quelque 20.500 emplois à terme. Selon les données de la Direction des domaines de l’État, 74% de ces investissements sont concentrés au niveau de deux régions : Dakhla-Oued Eddahab (53,2%) et Laâyoune-Sakia El Hamra (21,2%). De même, 75% des projets concernent le tourisme (25,75%), l’industrie (20,17%), les services (18,03%) et l’agro-industrie (11,37%). Dans le domaine agricole, 3.841 ha ont été loués dans le cadre du partenariat agricole au profit de 179 projets, pour un loyer annuel de 5,15 millions de DH et un investissement projeté de 685 millions.

Attijari Global Research : la baisse des taux directeurs à l’international faciliterait le financement extérieur du Trésor marocain (Le Matin)

C’est une tendance mondiale qui creuse son sillon. Douze Banques centrales du Top 35 mondial ont déjà opéré une baisse de leurs taux directeurs. Ce climat financier mondial accommodant faciliterait le financement extérieur du Trésor marocain et limiterait les pressions sur le déficit de liquidité bancaire. L’analyse est d’Attijari Global Research, consignée dans une nouvelle note dédiée à la décision de Bank Al-Maghrib d’abaisser de 25 points de base son taux directeur. Pour les experts du centre de recherche, la fin du cycle de resserrement monétaire de l’Institut d’émission et le démarrage d’un nouveau cycle accommodant pourraient être justifiés par trois arguments. D’abord, le reflux confirmé des tensions inflationnistes, ensuite les nouveaux impératifs de soutien de la croissance nationale et, enfin, le changement de cap monétaire à l’échelle mondiale.

Baccalauréat 2024 : un total de 245.881 candidats ont réussi les épreuves de la session normale (Libération)

Un total de 245.881 candidats scolarisés de l’enseignement public et privé, dont 143.366 filles, ont réussi les épreuves de la session normale de l’examen national du Baccalauréat de l’année 2024, soit un taux de réussite de 67,8%, a annoncé le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports. Le taux de réussite au titre de cette session de juin a connu une augmentation de 8 points de pourcentage, le nombre de lauréats étant ainsi resté stable par rapport à la session de 2023 qui a enregistré un taux de 59,8% (245.295 élèves), selon les résultats de la session normale annoncés par le ministère après l’achèvement des délibérations dans l’ensemble des académies régionales d’éducation et de formation.

PPS: aucun impact des mesures de subvention de l’importation des ovins (Al Bayane)

Le bureau politique du PPS, qui a tenu sa réunion mardi, a indiqué que cette année, l’Aïd Al Adha a été marqué par un climat difficile pour de larges couches des familles marocaines, en particulier les plus vulnérables, en raison de la cherté sans précédent des ovins du sacrifice, et ce en l’absence d’un impact réel du soutien généreux accordé par le gouvernement aux importateurs de moutons. À cet égard, le PPS a souligné que le gouvernement a manqué de la conscience nécessaire que l’ampleur et les répercussions de l’énorme différence entre ses déclarations rassurantes prétendant garantir des ovins en nombre suffisant, et la réalité dans laquelle un grand nombre de citoyens se sont trouvés impuissants face à la rareté des moutons du sacrifice et à leurs prix atteignant des chiffres astronomiques. Ceci en sachant que les ovins importés n’ont pas rempli l’objectif escompté. Cette mauvaise gestion gouvernementale de l’occasion de l’Aïd Al Adha a exacerbé le climat de tension sociale marqué par la détérioration du pouvoir d’achat des familles marocaines, selon le parti du Livre.

Protection du consommateur : le renchérissement des prix préoccupe (Alahdath almaghribia)

La Fédération marocaine des droits du consommateur (FMDC) a alerté de « la souffrance que vit le citoyen Marocain, en raison des augmentations successives et incompréhensibles de tous les prix des biens et des services », appelant le gouvernement à créer une institution de consommation spécialisée afin de protéger le consommateur. La FMDC a indiqué dans un communiqué que « le consommateur souffre quotidiennement de ces hausses successives des prix sur le marché marocain, dominé par le secteur informel », soulignant que l’acteur économique est « indifférent au respect des lois sur la liberté des prix, la concurrence et la protection du consommateur ». Elle a dénoncé les augmentations « illégales » des prix des produits de consommation, qui « ne sont souvent pas compatibles avec la qualité et la sécurité de ce produit et le contexte mondial et climatique », s’interrogeant sur le peu de cas fait par le gouvernement et les institutions concernées par ce sujet pour assurer la protection du consommateur et la stabilité du marché.

Des drones pour pourchasser les bandes criminelles des carrières (Assabah)

Le ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka, s’est engagé à poursuivre des associations de malfaiteurs volant les carrières de sable, de ghassoul et de pierres précieuses, et celles manipulant les quantités extraites sans payer les droits de redevance à l’État. Le ministre a fait part de son mécontentement, en réaction à la présentation du rapport de la mission d’information sur les carrières de sables et de marbre, devant la Commission des infrastructures, de l’énergie et mines à la Chambre des représentants, confirmant qu’il fera usage des satellites pour traquer l’extraction du sable et des pierres précieuses, et son détournement vers des destinations inconnues, en allusion à la lutte contre les bénéficiaires de l’économie de rente, qui monopolisent le marché en s’organisant en bandes criminelles. Baraka a souligné, à cette occasion, l’importance de la mise en œuvre d’un contrôle dans ce domaine, en faisant intervenir des « drones » pour également surveiller « les quantités extraites dans les carrières légales », après que le gouvernement a prévu de percevoir de ce secteur des droits de redevance d’environ 900 millions de dirhams annuels, alors qu’il a recouvré seulement 45 millions.

Les étudiants de médecine et de pharmacie boycottent les examens (Al Akhbar)

Les étudiants de médecine et de pharmacie ont boycotté les examens de la fin d’année, tenus mercredi dernier, selon des sources de la Commission nationale des étudiants en médecine, en médecine dentaire et en pharmacie (CNEMEP), qui ont confirmé que les pourcentages initiaux de boycott des examens sont élevés, atteignant plus de 84%. A Rabat, une part de 80% des étudiants de la faculté de médecine et de pharmacie ont boycotté les examens, ce qui est considéré comme « un attachement à la décision de boycott », selon ces sources, qui ajoutent que « les mêmes proportions ont été enregistrées dans les facultés de Casablanca, Marrakech et Fès, ayant dépassé globalement les 80% ». Les étudiants ont annoncé le boycott des examens, dont la programmation a été maintenue par le gouvernement à partir de mercredi, accusant l’exécutif de chercher une année blanche dans les facultés de médecine du Maroc.

Manifestation devant le Parlement en protestation contre les prix élevés (Al Massae)

L’Union nationale du travail au Maroc (UNTM) a annoncé l’organisation d’une manifestation centrale, dimanche, devant le Parlement en protestation contre l’augmentation excessive des prix. La centrale syndicale a indiqué que cette manifestation intervient en application de son mouvement de protestation tracé par le bureau national du syndicat, en réaction à « l’accroissement de l’indice de la crise sociale en raison du rythme croissant de la hausse des prix et les coûts élevés de tous les produits de première nécessité », soulignant que cela a eu « des répercussions sur le pouvoir d’achat des salariés et des retraités, qui s’est entièrement effondré, ce qui a compliqué la situation sociale et a servi à l’accroissement de l’indice de la crise et du manque de confiance ». L’UNTM a relevé que le gouvernement n’a « laissé aucun produit national ou importé sans le cibler par une augmentation de prix, allant jusqu’à doubler celui de certains produits, dont les prix ont frôlé 200% », selon le communiqué d’appel à la manifestation.

Chambre des Conseillers : une délégation palestinienne reconnaissante aux actions du Maroc en soutien à la cause palestinienne (Assahra almaghribia)

Une délégation palestinienne, reçue mercredi à la Chambre des Conseillers par son président, Enaam Mayara, a exprimé sa reconnaissance aux actions bienveillantes du Maroc, Roi, gouvernement et peuple, en soutien à la cause palestinienne. En visite au Royaume à l’invitation de l’Agence Bayt Mal Al Qods, les membres de la délégation ont tenu à saluer les nobles initiatives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, visant à soulager les souffrances des Palestiniens, la dernière en date étant le déploiement d’une opération humanitaire d’aide médicale destinée aux habitants de la bande de Gaza, indique un communiqué de la deuxième Chambre.

Le partenariat stratégique renforcé entre le Maroc et la France en débat à l’IFRI (Rissalat Al Oumma)

L’Institut français des relations internationales (IFRI) a organisé, mercredi, un débat de haute facture avec l’ambassadeure du Maroc à Paris, Samira Sitail, sur les perspectives du partenariat stratégique renforcé entre le Maroc et la France. Présidé par Thierry de Montbrial, Président de l’Ifri, en présence d’un parterre d’éminents experts des questions internationales, ce débat a mis l’accent notamment sur la force de la relation spécifique qui unit les deux pays et le potentiel de son développement à l’avenir sur des bases solides et pérennes. Le débat a également été axé sur les défis que relèvent à la fois le Maroc et la France dans un contexte géopolitique régional et international mouvementé.

Le Président de l’IFRI salue la dynamique de relance des relations franco-marocaines sur la base de la compréhension et la confiance mutuelles (Al Ittihad alichtiraki)

Le Président de l’Institut français des relations internationales (IFRI), Thierry de Montbrial a salué la dynamique de relance des relations franco-marocaines sur la base de la compréhension et de la confiance mutuelles. “Le fait que les deux pays se retrouvent dans une phase où les uns et les autres ont une compréhension partagée des défis à relever et une volonté de retrouver la confiance mutuelle est précieux et prometteur”, s’est félicité de Montbrial dans une déclaration à la presse, en marge du débat organisé par l’IFRI sur les perspectives du partenariat stratégique renforcé entre le Maroc et la France. De Montbrial, également membre de l’Académie des Sciences morales et politiques, a souligné que “le Maroc qui est un grand pays, fort d’un régime politique ancré dans l’histoire avec une légitimité très forte et la France qui est également une grande nation, ont en partage beaucoup de points communs et leurs intérêts sont extrêmement complémentaires sur tous les plans, économique, politique, sécuritaire et culturel”.

Doha: la vice-présidente de la Chambre des représentants met en avant les efforts du Maroc en matière de lutte contre le terrorisme (Bayane al Yaoum)

La vice-présidente de la Chambre des représentants, Nadia Touhami a mis en avant, à Doha, les efforts déployés par le Maroc dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et sa politique sécuritaire et juridique en la matière, basée sur une approche proactive. Intervenant dans le cadre de la Conférence internationale des femmes parlementaires, qui se tient sous le thème “Le rôle des femmes parlementaires dans la mise en œuvre et le contrôle des législations, politiques et stratégies de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent”, Touhami a expliqué, à cet effet, que le Royaume a initié d’importantes mesures juridiques et institutionnelles, notamment la loi relative à la lutte contre le terrorisme et son financement, outre la mise en place de plusieurs organes pour assurer l’efficacité et l’efficience dans la lutte contre ce fléau.


 MAP  28 Juin 2024